Critique gastronomique, Tom Parker Bowles s’est exprimé sur le menu du couronnement de sa mère et de son beau-père Charles III. Et le fils aîné de la reine consort Camilla égratigne la gastronomie britannique.
« Je pense que l’ail peut donner une odeur à votre souffle, donc je pense que pour des raisons purement sociales, l’ail est à éviter« , précise Tom Parker Bowles au micro du podcast The News Agent, avant de dévoiler les goûts culinaires de sa mère, la reine consort Camilla. « Elle n’aime pas le chili, elle n’aime pas les plats très épicés. » Mais le critique gastronomique s’étale encore un peu plus sur le sujet. « Je ne parle pas d’expérience, mais lorsque vous déambulez et que vous rencontrez beaucoup de personnes, il faut faire attention à ne pas trop solliciter votre ventre. »
Dans ce podcast, Tom Parker Bowles promet cependant qu’il n’interviendra pas sur la composition du menu du couronnement, établi Mark Flanagan, par le chef cuisinier du palais de Buckingham.
« C’est un chef talentueux et expérimenté, et la dernière chose dont il a besoin, c’est qu’un critique culinaire parvenu intervienne pour lui dire quoi faire », explique humblement le fils de la reine consort. « Il a géré des centaines de baquets d’État, des jubilés, et c’est un très, très bon chef. Donc je n’oserais pas commencer à lui dire ce qu’il doit faire. »
Ce que Tom Parker Bowles ose cependant faire, c’est s’attaquer au sacro-saint « poulet du couronnement ». La recette, très populaire au Royaume-Uni, est apparue en juin 1953, pour le couronnement d’Elizabeth II. « Je pense que ce qui a débuté comme quelque chose de bon et d’assez exotique pour les années 1950 est aujourd’hui devenu quelque chose de vraiment horrible. » Le plat populaire mis en avant par Charles III et Camilla pour les festivités de leur couronnement n’a pas l’air plus ragoûtant : il s’agit d’une quiche aux ingrédients surprenants.