Ancienne gymnaste de haut niveau, Alina Kabaeva n’a plus été aperçue depuis 2014. Si sa relation avec Vladimir Poutine n’a jamais été confirmée, l’ancienne olympienne de GRS en profite pourtant des avantages et des inconvénients qui accompagnent ce statut.
Dans un entretien accordé à Madame Figaro, Céline Nony, grand-reporter pour le magazine L’Équipe, a évoqué son travail de recherche sur la mystérieuse Alina Kabaeva, qu’elle a déjà rencontrée lors de manifestations sportives de GRS. Décrite comme une athlète de haut niveau, sympathique et solaire, la quadragénaire, de trente ans la cadette du président russe, n’a presque plus été aperçue depuis 2014.
« Les rares personnes qui ont accepté de me parler me disent qu’elle n’a pas changé : elle reste cette jeune femme ouverte, charmante, solaire. Mais depuis 2014, plus personne ne la voit », a assuré la journaliste à nos confrères de Madame Figaro.
La rumeur veut qu’Alina Kabaveva soit, depuis 2008, la compagne de Vladimir Poutine. Le président russe mettrait un point d’honneur maintenir cette liaison secrète pour « renforcer son image de mâle alpha », suppute Céline Nony. Cela expliquerait pourquoi l’ancienne gymnaste vit dans une demeure spécialement construite pour elle dans la résidence présidentielle de Valdaï, sans compter les nombreuseux appartements et maisons mis à sa disposition aux quatre coins du pays.
« Une potiche »
« Si elle reçoit un énorme salaire en tant que directrice du National Media Group (NMG), une holding de télévision, la compagne du président russe est pourtant présentée comme une femme qui ne fait « pas grand-chose de ses journées » par Céline Nony. « [Elle] ne fait pas grand-chose, et ne peut plus voyager à cause des sanctions prises contre les oligarques russes et leurs proches depuis la guerre en Ukraine. »
Aussi, le même sort est réservé aux proches de l’ancienne gymnaste. « Sa mère, sa sœur et sa grand-mère en font aussi les frais. Elle reste à la tête de sa fondation caritative. Mais personne n’est dupe de son poste de directrice du NMG : c’est une potiche. »
gala