La récente fuite des notes d’évaluation des candidats (Algérie, Maroc, Zambie…) pour l’organisation de la Can 2025 a déclenché une vive controverse.
Les évaluations, attribuant au Maroc une note technique impressionnante de 85/100, ont soulevé des interrogations quant à leur justesse. En particulier, la question des stades a été mise en avant. Certains estiment que l’Algérie aurait dû être largement en tête dans cette catégorie.
Cette fuite de notes place la Caf dans une position délicate, notamment vis-à-vis de l’Algérie et de la communauté sportive africaine. Elle soulève des questions sur l’équité du processus de sélection et sur d’éventuelles manœuvres en coulisse.
Bien que le Maroc ait été classé premier dans tous les critères, ces notes remettent en question la transparence du processus de décision. Ils ne font que renforcer les doutes quant à la façon dont les pays-hôtes sont sélectionnés, alimentant ainsi les discussions sur l’influence des coulisses dans le monde du football africain.
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