Euro-2021 : déjà qualifiés, les Bleus en opération séduction face au Portugal

Qualifiée avant même de jouer son troisième match, l’équipe de France a rendez-vous mercredi pour une revanche face au Portugal de Cristiano Ronaldo, qui l’avait privé du titre en 2016. Les Bleus ont une double mission : conserver la première place du groupe F et rassurer après leur décevant match nul face à la Hongrie (1-1).

Les champions d’Europe en titre face aux champions du monde. C’est le dernier choc du « groupe de la mort » de cet Euro. Sur le papier, c’est aussi le plus alléchant. Un duel au sommet entre les deux derniers finalistes du championnat d’Europe, le Portugal et la France. Toutefois, avant de croiser le fer, mercredi 23 juin, les deux équipes ne se trouvent pas dans la même situation : les hommes de Didier Deschamps sont déjà qualifiés tandis que le Portugal est toujours menacé d’élimination précoce en cas de lourde défaite.

Montrer un autre visage à Budapest

Sur les bords du Danube, la vie des Bleus n’a pas été un long fleuve tranquille. L’équipe de Hongrie, poussée par ses supporters, a mené la vie dure aux coéquipiers de Pogba et décroché un match nul, samedi 19 juin. Un exploit pour les Magyars, mais une contre-performance pour les Tricolores.

Les nuages et les critiques se sont accumulés entre le forfait définitif d’Ousmane Dembélé, l’inefficacité de Karim Benzema ou la gestion de Benjamin Pavard. Seul éclat de soleil : le dénouement dans les groupes B et C a profité à la France, qualifiée en huitième de finale avant même de disputer son dernier match de poule.

Un cadeau empoisonné : ces quatre points accumulés jusqu’à présent permettent, certes, aux Bleus de terminer parmi les meilleurs troisièmes de groupe dans le pire des cas, mais en tant que favoris et champions du monde, ils doivent aspirer à autre chose : envoyer un message aux autres sélections après la copie décevante rendue à Budapest et conserver la première place du groupe F.

En cas de deuxième place, la France pourrait redouter un huitième de finale plus corsé à Londres, potentiellement contre l’Angleterre, tandis qu’une première place lui permettrait d’affronter un adversaire plus abordable à Bucarest (Roumanie) – la Suisse, la Finlande ou l’Ukraine. En revanche, finir troisièmes du « groupe de la mort » serait synonyme pour les Bleus de duel contre la Belgique ou les Pays-Bas, à Séville ou à Budapest.

Qualifiée avant même de jouer son troisième match, l’équipe de France a rendez-vous mercredi pour une revanche face au Portugal de Cristiano Ronaldo, qui l’avait privé du titre en 2016. Les Bleus ont une double mission : conserver la première place du groupe F et rassurer après leur décevant match nul face à la Hongrie (1-1).

Les champions d’Europe en titre face aux champions du monde. C’est le dernier choc du « groupe de la mort » de cet Euro. Sur le papier, c’est aussi le plus alléchant. Un duel au sommet entre les deux derniers finalistes du championnat d’Europe, le Portugal et la France. Toutefois, avant de croiser le fer, mercredi 23 juin, les deux équipes ne se trouvent pas dans la même situation : les hommes de Didier Deschamps sont déjà qualifiés tandis que le Portugal est toujours menacé d’élimination précoce en cas de lourde défaite.

Montrer un autre visage à Budapest

Sur les bords du Danube, la vie des Bleus n’a pas été un long fleuve tranquille. L’équipe de Hongrie, poussée par ses supporters, a mené la vie dure aux coéquipiers de Pogba et décroché un match nul, samedi 19 juin. Un exploit pour les Magyars, mais une contre-performance pour les Tricolores.

Les nuages et les critiques se sont accumulés entre le forfait définitif d’Ousmane Dembélé, l’inefficacité de Karim Benzema ou la gestion de Benjamin Pavard. Seul éclat de soleil : le dénouement dans les groupes B et C a profité à la France, qualifiée en huitième de finale avant même de disputer son dernier match de poule.

Un cadeau empoisonné : ces quatre point s accumulés jusqu’à présent permettent, certes, aux Bleus de terminer parmi les meilleurs troisièmes de groupe dans le pire des cas, mais en tant que favoris et champions du monde, ils doivent aspirer à autre chose : envoyer un message aux autres sélections après la copie décevante rendue à Budapest et conserver la première place du groupe F.

En cas de deuxième place, la France pourrait redouter un huitième de finale plus corsé à Londres, potentiellement contre l’Angleterre, tandis qu’une première place lui permettrait d’affronter un adversaire plus abordable à Bucarest (Roumanie) – la Suisse, la Finlande ou l’Ukraine. En revanche, finir troisièmes du « groupe de la mort » serait synonyme pour les Bleus de duel contre la Belgique ou les Pays-Bas, à Séville ou à Budapest.

Source: france24
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