Elisabeth Borne en flagrant délit de vapotage et enguirlandée en plein débat : « On n’est pas au-dessus des lois »

Citoyenne du monde qui adore les blind tests des années 90, elle se passionne pour les histoires de cœur avec ou sans happy end des personnalités françaises et internationales.
Alors qu’elle était au micro de l’Assemblée nationale, une députée s’est interrompue pour faire la leçon à la Première ministre Elisabeth Borne qui était en train de vapoter dans l’hémicycle.

Première ministre depuis le mois de mai 2022, Elisabeth Borne travaille d’arrache-pied pour mener la politique du gouvernement. Si elle est connue pour sa rigueur, il est un sujet sur lequel elle semble faire des compromis : la cigarette électronique. La femme politique de 62 ans est connue pour être une adepte de la vapoteuse, à tel point qu’elle n’y résiste pas, même au sein de l’hémicycle de l’Assemblée nationale.

Un comportement qui a indigné une députée alors qu’elle était au micro ce mercredi

« Obligée de m’interrompre dans mon discours pour demander à Elisabeth Borne d’arrêter de vapoter dans l’hémicycle !« , écrit Caroline Fiat, Députée La France Insoumise pour la 6ème circonscription de Meurthe-et-Moselle et vice-présidente de l’Assemblée nationale sur X, anciennement Twitter.

Lorsqu’elle a interpellé la cheffe du gouvernement lui rappelant le plan anti-tabac fraîchement lancé et qui interdit la cigarette aux abords des lieux publics et sur les plages, elle a également clamé : « Ici on écrit la loi, on n’est pas au-dessus des lois.« 

Elisabeth Borne et la cigarette électronique, une addiction bien embarrassante. Elle est régulièrement pointée du doigt pour sa consommation et avait déjà été ciblée dans L’Heure des pros par l’animateur Pascal Praud et le journaliste Gauthier Le Bret. « Elle, elle a le droit« , avait conclu avec ironie le présentateur de CNews.

Il est effectivement interdit de fumer ou vapoter dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale ou du Sénat comme le rappelle le site service-public.fr qui considère ses lieux comme des lieux collectifs de travail. « Le fait de vapoter dans un lieu à usage collectif est puni de l’amende pouvant aller jusqu’à 150 euros« , peut-on lire.

L’autre addiction d’Elisabeth Borne

Ce n’est pas la seule addiction d’Elisabeth Borne, comme l’avait relevé Paris Match. Elle est une « accro au Coca-Light« . Affichant une ligne parfaite et sportive, elle a opté pour la boisson sans sucre manifestement, pour ne pas trop pâtir du sucre.

Pour l’hebdomadaire, elle est comme Lionel Jospin pour qui elle a travaillé, elle serait « une austère qui se marre« . Cependant, avec le tabac, ça ne rigole pas.

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