Dans un article publié sur son site Internet ce mardi 5 décembre, le Daily Mail publie une photographie de Meghan Markle datant de la veille, tout sourire sous le soleil de Californie. Une attitude qui a été jugée peu appropriée, alors qu’un scandale fait rage…
C’est en 2021, au cours d’une interview accordée à Oprah Winfrey en compagnie de son époux, que la maman d’Archie et Lilibet avait rapporté des propos racistes à l’égard de son premier enfant à naître, qui auraient été tenus par un membre de la famille royale.
Le couple avait ensuite précisé qu’il ne s’agissait ni de la reine Elizabeth II, ni de son époux, le prince Philip, tout en se refusant à donner plus de détails. Après la parution de l’édition néerlandaise de Fin de règne, qui mentionnait noir sur blanc non pas un, mais deux membres de la famille royale censés être à l’origine de ces propos, Meghan et Harry se sont bien gardés de faire le moindre commentaire à ce sujet.
Alors, pour le Daily Mail, la photo de la jeune femme souriante a été considéré comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase : « Elle s’en moque royalement ! » a titré le journal.
Un silence préjudiciable ?
Le fait est que la parution du livre d’Omid Scobie n’a pas seulement égratigné la réputation de la Couronne britannique. Alors que d’âpres débats font rage au sujet des deux membres de la famille royale au cœur de la polémique, le silence que continuent d’observer Meghan et Harry à ce sujet a fait chuter la côte de popularité du jeune couple.
Les assistants de la duchesse de Sussex, en particulier, craignent que cela lui coûte de nombreux contrats potentiels…
À un niveau plus personnel, la décision du prince Harry de ne pas nier publiquement les allégations à l’encontre de ces deux membres de sa famille pourraient bien être à l’origine d’une rupture définitive. Certes, les parents d’Archie et Lilibet avaient cherché à se distancier de l’ouvrage polémique avant sa sortie, et souhaiteraient toujours éviter de prendre parti.
Mais maintenant que le scandale est devenu planétaire, ont-ils encore le choix ? Quoi qu’il en soit, pour les Britanniques, un minimum de contrition face à une situation qui ne se serait jamais produite sans leur avalanche de révélations serait le bienvenu…