Eddy Mitchell installé dans « un coin peinard » du XVIe à Paris : la banlieue comme Marnes-la-Coquette, très peu pour lui

Si elle a bien fait son choix (évident) entre Leo Messi et Cristiano Ronaldo, il n’est pas question de décider qui elle préfère entre Meghan Markle et Kate Middleton. Poissons ascendant Verseau, elle est dotée d’un sixième sens qui l’aide à vous dénicher les informations les plus cachées sur vos stars préférées.

Eddy Mitchell a un avis bien tranché sur la vie en banlieue. Très critique envers le lieu de vie de son regretté ami Johnny Hallyday, il préfère un « coin pénard » de Paris.

Eddy Mitchell n’est pas du genre à garder son avis pour lui. Demandez-lui ce qu’il pense et il ne mettra pas longtemps à vous répondre, quitte à en froisser certains. Et visiblement, le lieu de villégiature de son ami Johnny Hallyday ne semblait pas lui plaire tant que ça. C’est au cours de son entretien avec Le Point, ce jeudi 14 décembre, que l’on découvre l’avis bien arrêté de l’interprète de Couleur menthe à l’eau sur Marnes-la-Coquette. « Ah non, faut le vouloir, habiter à côté du cadavre de Maurice Chevalier.

Et avec un peu de chance, Hugues Aufray débarque avec sa guitare », lâche Eddy Mitchell, au sujet de la vie dans cette banlieue prisée des Hauts-de Seine

Mais alors où vit donc l’artiste de 81 ans qui a récemment sortie son livre Ma discothèque idéale ? S’il apparaît également très critique envers Paris, il vit néanmoins au sein de la capitale française, dans un « coin peinard » du 16e arrondissement. C’est donc ici que l’on peut trouver le chanteur quand il n’est pas dans sa maison de Saint-Tropez. Ami fidèle de Johnny, Eddy Mitchell s’échappe en effet dans le sud quand il le peut, lui qui ne manque pas de pointer du doigt la crasse des rues de la capitale.

Au sujet d’Anne Hidalgo, maire de la ville, il reprend du Vincent Lindon. « Je crois que c’est Vincent Lindon qui a dit qu’elle était comme l’abbé Faria, à force de creuser des trous, elle va finir par trouver un trésor », partage Eddy Mitchell au Point.

Eddy Mitchell atomise Paris : « N’allez pas croire que je sois nostalgique, mais… »
Si la crasse semble l’importuner, il y a aussi les vélos. De plus en plus présents dans les rues de Paris, ces derniers ne sont pas non plus du goût de l’interprète de Sur la route de Memphis, lui qui n’a pas non plus le permis de conduire. « Le vélo, sans moi, c’est bien quand vous avez 18 balais, mais ils font chier avec le vélo! Si vous ne supportez pas la voiture, allez ailleurs. N’allez pas croire que je sois nostalgique, mais vous avez vu la rue de Rivoli? Tout ferme, commente le chanteur.

Et le sort des bouquinistes… » Visiblement, comme le musée Serge Gainbsourg, ni Marnes-la-Coquette, ni Paris, n’ont trouvé grâce aux yeux d’Eddy.

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