Au Burkina Faso, après l’interpellation le 24 décembre à Ouagadougou d’Ablassé Ouedraogo, conduit vers une destination inconnue, Le Faso Autrement réagit. Dans un communiqué, la direction du parti exprime son « inquiétude », son « indignation » et demande la libération sans condition de l’ancien ministre des Affaires étrangères burkinabè, qui avait exprimé des critiques en octobre à l’encontre des autorités de transition.
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