La voiture était garée sous un chêne. Tout à coup, un gland tombe sur le toit de l’automobile. L’homme, à l’ouïe superfine, croit à une agression et se met à hurler: «Coup de feu! Coup de feu!»
Ah, les violences policières… Derrière ces fonctionnaires en uniforme se cacherait systématiquement un criminel, et souvent un raciste de surcroît. Les Français devraient aller faire un tour aux États-Unis, où l’on peut se faire contrôler simplement parce qu’on marche à Los Angeles.
Là-bas, certains policiers ont la gâchette facile. Ils sont tendus, nerveux. Ainsi ce récent fait divers assez étonnant: le 14 février dernier, en Floride, dans le comté d’Okaloosa, un policier a cru entendre un coup de feu au moment où il s’apprêtait à entrer dans son véhicule dans lequel se trouvait, à l’arrière, un suspect menotté.
La voiture était garée sous un chêne. Tout à coup, un gland tombe sur le toit de l’automobile.
L’homme, à l’ouïe superfine, croit à une agression et se met à hurler: «Coup de feu! Coup de feu!» C’est l’homme qui valait trois milliards. Il a des oreilles bioniques. Il se jette au sol, roule sur lui-même, sort son arme et se met à tirer sur sa propre voiture. Un fan de L’Arme fatale ou de Die Hard, probablement. «Je suis touché! Je suis touché!», hurle-t-il. Touché par un gland.
L’une de ses collègues, dans les parages, vide à son tour son chargeur sur l’auto.
L’homme menotté sur la banquette arrière n’a miraculeusement pas été touché. Le gland non plus. Quant au policier, il a eu du mal à s’en remettre. Le Journal de Montréal explique: «Selon le rapport d’enquête, il a expliqué avoir pris le bruit de la chute du gland pour une détonation d’un pistolet à silencieux. Il a démissionné de la police.» Heureusement qu’il n’est pas tombé de la grêle, le quartier aurait été décimé.
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