Plusieurs forces vives de la nation se sont exprimées sur la nécessité de respecter le cycle électoral de 2023. Elles insistent également sur la nécessité de tenir compte des préalables importants à franchir.
Premièrement, la réforme de la CENI tout en boycottant la nouvelle loi promulguée par le président Félix Tshisekedi. Ensuite, la désignation consensuelle de ses nouveaux animateurs. C’est notamment la position de Lamuka. La plupart des organisations de la société civile, dont particulièrement les mouvements citoyens et du groupe G-13 partagent cet avis.
Le camp de Félix Tshisekedi continu à poser la condition du recensement général de la population congolaise avant toute convocation de l’électorat en 2023. Faute de quoi, la classe politique devrait accepter le « glissement » du régime UDPS au-delà de 2023. Pressenti comme candidat pour la présidentielle de 2023, Moise Katumbi multiplie les contrats de lobbying auprès des décideurs politiques occidentaux.
Selon Jeune Afrique, le président de Tout Puissant Mazembe aurait dépêché « sous coulisses » ses émissaires aux États-Unis pour solliciter le soutien du locataire de la maison Blanche, Joe Biden avant sa prochaine bataille électorale face à Félix Tshisekedi à la magistrature suprême.
Dans ce pays , la nouvelle proposition de loi prévoit que seuls les Congolais nés de père et de mère également congolais pourraient se présenter à la magistrature suprême. Une réforme qui disqualifierait Katumbi, dont le père est d’origine grecque.
Source: journaldekinshasa