Dans la nuit du dimanche au lundi 22 avril, Kendji Girac s’est blessé par balle au niveau du thorax. «
Après cette prise de parole du magistrat, les réactions ont été nombreuses dont celle de Vianney qui a regretté qu’Olivier Janson ne donne trop de détails sur l’intimité de son ami.
Il n’était d’ailleurs pas le seul à être de cet avis puisque le manager et l’agent du chanteur ont confié leur incompréhension face au déballage de « l’intimité de la vie privée et familiale de Kendji Girac qui est un homme discret et réservé par nature, et ce sans nécessité au regard de l’enquête en cours ». Outre ces prises de positions, il y en a une qui risque de ne pas forcément plaire aux proches du chanteur.
C’est celle de la comédienne, danseuse et metteuse en scène Andréa Bescond qui a pris la parole, ce vendredi 26 avril, sur Instagram, pour donner son avis sur cette histoire dans laquelle elle ne considère par Kendji Girac comme une victime.
Sur fond noir, elle a écrit : « Tu es Kendji Girac. D’après les médias, tu t’es tiré une balle dans le corps pour mettre la pression à ta femme qui te fait des reproches sur ton comportement à risques. Sache que de menacer de se suicider quand un.e partenaire souhaite interrompre une relation, c’est une torture psychologique infligée à l’autre ».
Elle a renchéri : « Si il y a des enfants, c’est également une violence vicariante : la ‘culpabilité’ ressentie par la mère vis à vis des enfants, le regard porté par la famille sur elle ».
En colère, la comédienne ne s’est pas arrêtée là. « Quand quelqu’un.e qu’on aime évoque la rupture, on travaille sur soi pour changer les choses et si on ne peut pas, on accepte car personne n’appartient à personne. Et on espère que tu ne vas pas jouer la victime, tu ne l’es pas Kendji Girac, tu fais souffrir tes proches pour ton égo », a-t-elle poursuivi.
Et de conclure : « Fais une thérapie ».
« Mais MERCI pour ce texte, j’en peux plus d’entendre la terre entière s’apitoyer sur ce mec depuis des jours », « J’envoie tout mon soutien à sa femme Soraya qui vit un moment très très dur dans l’indifférence », ou encore « Merci pour votre annotation.. Comme bien souvent malheureusement, le sage montre la lune le sot regarde le doigt », ont-ils écrit.
D’autres, a contrario, ont regretté la prise de parole de la réalisatrice.
Ainsi, ils lui ont indiqué : « Pourtant j’aime ce que vous faites mais là le jugement est facile. Qui vous dit qu’il ne l’a pas protégée, qui vous dit qu’il n’a pas juste craqué ? », « Vous jugez… vite, comme le font les chaînes d’infos. Connaissez-vous le dossier ? », mais aussi, « J’aime et je vous suis dans votre combat pour défendre toutes ces victimes ,mais là vous dépassez les bornes .Que savez vous de leur histoire ??? C’est trop facile ! ».
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