Christophe Dechavanne, qui souffre d’une entorse, a évoqué ses problèmes de santé dans Quelle époque ! samedi 23 novembre. De quoi remettre les pendules à l’heure, après les déclarations de Léa Salamé la semaine dernière sur ce même plateau.
Que le public de Quelle époque ! se rassure, Christophe Dechavanne se porte relativement bien. Depuis quelque temps, l’animateur de 66 ans souffre de douleurs au dos, qui l’obligent à se déplacer à l’aide de béquilles. Dans le numéro de samedi 16 novembre, sur France 2, Léa Salamé avait évoqué l’état de santé de son « invité permanent », en tout début de programme. « Ça va mon Christophe ? Toujours le bobo dans le dos… », avait-elle demandé à son acolyte.
Et de lâcher en s’adressant au public : « Soutenez-le parce qu’il ne peut toujours pas marcher. Il a des béquilles et tout ! »
Alors que Christophe Dechavanne débute désormais chaque émission assis sur le plateau, Léa Salamé en avait rajouté une couche, regrettant que son co-animateur ne fasse plus « d’entrées spectaculaires » comme c’était le cas auparavant. Et l’intéressé de rebondir, sur le ton de la plaisanterie : « Il est un peu béquillé, mais il se démerde, il bouge, il bouge ! » Concernant ses « entrées spectaculaires », il précisait qu’il faudrait patienter encore « un an ou deux » pour y avoir à nouveau droit !
« Je suis juste un peu malade »
Les internautes n’avaient pas tardé à réagir sur les réseaux sociaux. Face aux rumeurs, Christophe Dechavanne a tenu à faire un point sur son état de santé, samedi 23 novembre en début d’émission. « Ça va, ça va, toujours ma vilaine entorse », a-t-il répondu lorsque la présentatrice lui a demandé de ses nouvelles.
« Je précise, j’ai une entorse, parce que la semaine dernière je ne sais pas ce qui vous a pris, vous êtes partie en fusée : ‘Vous avez mal au dos, vous ne pouvez pas bouger’… », a-t-il déclaré, avant de poursuivre : « Je suis juste un peu malade. » Et Léa Salamé de lancer : « Christophe Dechavanne va bien. »
Ce à quoi le chroniqueur a répondu : « Enfin, bien, il ne faut pas non plus pousser le bouchon. Je survis. » Et la journaliste de rebondir avec humour : « Vous n’êtes pas à l’article ! » De quoi remettre les points sur les « i ».
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