Si Donald Trump a les faveurs de Charles III, le prince Harry est d’un tout autre avis. Lors d’une conférence donnée le 27 février dernier, le fils de Diana semble avoir, une fois encore, exprimé son désamour pour le président américain.
Le torchon continue de brûler entre Donald Trump et le prince Harry. Si le président américain a renoncé à expulser l’ancien membre de la famille royale britannique, qui avait menti sur sa demande de visa, les relations ne se sont pas apaisées entre les deux hommes. Jeudi 27 février, le fils de Diana déterre la hache de guerre, lors d’un discours surprise donné à une conférence de l’entreprise Upfront, à Los Angeles (Californie).
Il commence par expliquer comment il a investi sa fortune, depuis son départ d’Angleterre, avant d’analyser : «Ce serait le moment idéal pour parler de la façon dont une direction malsaine, dans tous les secteurs – de la politique à la technologie – peut avoir un effet préjudiciable sur des millions, voire des milliards, de personnes.» Serait-ce une pique voilée à destination de Donald Trump ?
The Mirror confirme que cette prise de parole serait à charge du président américain.
En effet, le prince Harry continue en relevant les conséquences néfastes «lorsque le service aux autres est sacrifié au nom de l’intérêt personnel, que la morale et l’empathie sont abandonnées au profit du pouvoir et du contrôle.»
Peut-être pour tempérer, l’époux de Meghan Markle se dit peu concerné par les divisions politiques «entre démocrates et républicains», mais confie : «De mon rôle en tant que prince à mes dix années de service dans l’armée, j’ai été témoin de la puissance de l’entraide. Mes expériences personnelles à l’étranger m’ont appris que lorsque l’on donne la priorité aux autres, on construit des systèmes plus solides et plus durables.» Pour l’instant, Donald Trump n’a pas réagi.
“Ça suffit !” : cette pique de Donald Trump au Premier ministre britannique
Alors que le prince Harry prenait la parole, en Californie, Donald Trump recevait le Premier ministre britannique à Washington. Keir Starmer en a alors profité pour remettre une invitation au président américain, convié en Angleterre par le roi Charles III.
Un honneur que l’époux de Melania Trump reconnaît, mais qui ne suffit pas à l’amadouer.
En effet, lors de la conférence de presse qui a fait suite à la rencontre entre Keir Starmer et Donald Trump, un journaliste soulève le sujet du Canada, partie du Commonwealth que le président américain a menacé d’annexer.
Alors que le Premier ministre britannique répond : «Je pense que vous essayez de trouver un fossé entre nous qui n’existe pas», l’homme d’affaires l’interrompt sèchement d’un «Ça suffit ! Merci.» De quoi décontenancer l’Anglais, visiblement peu habitué à la diplomatie à la Trump.
6Medias.