Ce lundi 12 mai, Brigitte Bardot adresse une lettre ouverte au président Emmanuel Macron pour demander l’abolition de la chasse à courre. L’icône des années 1960 a utilisé une technique très originale pour espérer se faire entendre !
Cela faisait plus d’une décennie qu’elle n’était pas apparue à la télévision. À l’occasion d’une interview exclusive accordée à BFMTV diffusée ce lundi 12 mai, Brigitte Bardot s’est exprimée sur la cause animale, si chère à son cœur. L’ancienne star du cinéma français aujourd’hui âgée de 90 ans demande l’abolition de la chasse à courre. « Je pars en guerre. Je veux l’abolition de la chasse à courre .
C’est une horreur ce truc-là.
Il faut absolument que le gouvernement français accepte, après cinquante ans de demande sans réponse, de m’offrir au moins cette victoire », livre la sœur de Mijanou.
« On est le dernier pays d’Europe, avec l’Irlande, à pratiquer cette ignoble chose », dénonce-t-elle, qualifiant cette pratique d’un autre temps.
Cette lettre ouverte, Brigitte Bardot a décidé de l’accompagner avec un sonotone, livré avec un message. « La fondation Brigitte Bardot vous offre le moyen d’entendre ses demandes », dévoile le journaliste Steven Bellery. « Voilà. Comme depuis cinquante ans, ils n’ont rien entendu du tout, ou ils ont fait semblant de ne pas entendre, ils sont maintenant obligés d’écouter », commente-t-elle.
Brigitte Bardot de retour à la télévision : elle rassure sur son état de santé
Au cours de cet entretien qui s’est déroulé dans sa maison à Saint-Tropez, Brigitte Bardot a fait quelques confidences sur son état de santé, quelques années après ses problèmes respiratoires. « Bah alors, s’est-elle exclamée en écartant les bras. Ça va très bien ! », a confié la maman de Nicolas-Jacques Charrier en riant.
La néo-nonagénaire a tout de même révélé qu’elle gardait beaucoup de choses pour elle.
« Ça ne sert à rien de se plaindre et ça emmerde tout le monde », a-t-elle répondu, cash. En mars dernier, l’ex-femme de Roger Vadim avait déjà fait quelques confidences sur son état de santé à BFMTV lors d’une interview au téléphone.
« Je ne suis pas ramollo. J’ai beaucoup de chance parce que j’ai un tempérament de feu de Dieu. C’est difficile de m’abattre », avait-elle soutenu.
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