COVID-19 : plus de 15 000 médecins dans le monde dénoncent des « attaques sans précédent »

Face à l’obscurantisme et à l’autoritarisme politique qui se sont imposés dans les décisions médicales pour traiter les personnes malades de la COVID, plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux ont signé la « Déclaration de Rome sur la Covid ». Un appel international pour dénoncer l’ingérence du politique et du business dans le libre arbitre des médecins.

Les gouvernements, les médias mainstream, les géants de la pharmacie et de l’Internet se mobilisent comme jamais pour faire la promotion de la vaccination massive et aveugle qui est pratiquée pour nous « protéger » de la pandémie de COVID-19. Tous les moyens propres aux régimes dictatoriaux sont utilisés : propagande massive sur tous les réseaux de communication, censure et dénigrement des voix dissidentes, pression financière, arrestations, manifestations réprimées violemment…

Les soignants, applaudis il y a un an lorsqu’ils étaient en première ligne face à une épidémie émergente, sont maintenant contraints d’adhérer à des choix politiques arbitraires sous peine d’être radiés de leurs fonctions.

Pour le Docteur canadien Hodkinson, membre du Collège Américain des Pathologistes et du Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada, il s’agit « d’une pandémie de peur. Peur qui a été délibérément provoquée par deux facteurs majeurs : le test PCR et la censure de tout ce qui va à l’encontre du narratif officiel.« 

Presque tous les virologues, médecins et scientifiques qui mettent en doute la stratégie de « vaccination » de masse et/ou émettent des réserves sont systématiquement rabaissés, ignorés ou rejetés dans des articles à charge de soit disant « fact-checking » (qui sont souvent très discutables et faux) à la solde des médias mainstream. De plus, certains journalistes usent de tous les moyens pour entacher la réputation des médecins réfractaires en fouillant leur vie privée, leurs amitiés pour les faire passer pour des « complotistes » qui auraient basculé dans la démence.
« J’ai rencontré de nombreux chercheurs, médecins et scientifiques « de haut niveau » animés par la volonté farouche de connaître et de dire la vérité. Or, très curieusement, ils sont passés, en quelque mois, du statut de « scientifiques brillants » à celui de « sombres complotistes » (…) Jamais je n’ai connu de « purge (médiatique) » d’une telle ampleur dans le monde scientifique (…) La stratégie de tous les systèmes totalitaires : mensonges, calomnies, décrédibilisation de toute pensée non « orthodoxe » et surtout, détournement de l’attention du public de la recherche de certaines vérités. » (Jean Stevens, médecin retraité après 45 ans d’expérience en médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France)).

En France, comme aux USA, les malheureux médecins qui administrent des traitements pourtant très efficaces ou qui expriment publiquement leurs doutes sur les vaccins sont menacés de radiation et/ou radiés (ex : Dr. Thierry Lagrange, Dr. Raoult, Dr. Benoit Ochs, Dr Nicolas Zeller, Dr Hélène Rezeau-Frantz, Dr Théron, Dr Agret, Dr Le Grall…).
« Quand on dit aux gens ‘Il ne faut plus vous soigner, restez à la maison !’, on revient sur 2 500 ans de pratique médicale. Et ça se termine par une mortalité effroyable. » déclarait le Pr Raoult à l’antenne de Sud Radio le 9 novembre 2021.

« En 2 ans la France est devenue une dictature comme en Chine ou Ex-Union Soviétique !
Je suis encore interdit de TweeT pour avoir osé donner mon avis médical en tant que médecin !
A quand les perquisitions et les camps de rééducation ?
Je n’aurais jamais cru voir ça en France un jour dans ma vie !
C’est très grave ce qui se passe en France !
Mais le pire de tout c’est de voir la passivité, la soumission et le conditionnement mentale de 95% de la population !
« , s’insurgeait le Dr. Peter El Baze suite aux restrictions appliquées sur son compte Twitter le 11 décembre 2021.

Les médecins du monde entier s’allient pour défendre leurs patients et le serment d’Hippocrate

Face aux décisions politiques, insensées et dangereuses des gouvernements principalement occidentaux, plusieurs milliers de médecins et scientifiques médicaux dans le monde entier ont fondé une alliance internationale de médecins et scientifiques « déterminés à dire la vérité au pouvoir sur la recherche et le traitement de la pandémie de Covid ».

1ère déclaration de l’alliance de médecins

A l’occasion du Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre 2021 à Rome, ils ont signé une première déclaration qui est « un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements – sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies. Nous exigeons que ces groupes se retirent et honorent le caractère sacré et l’intégrité de la relation patient-médecin, la maxime fondamentale « D’abord ne pas nuire » et la liberté des patients et des médecins de prendre des décisions médicales éclairées. Des vies en dépendent. »

Début décembre 2021, ils étaient déjà plus de 15 000 médecins et scientifiques médicaux à avoir signé cette déclaration dont le Dr. Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough, célèbre cardiologue américain, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins et bien d’autres docteurs.

DÉCLARATION DES MÉDECINS SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE

Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux

Septembre 2021

Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d'Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ;

VU QU'il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l'intégrité, l'art et la science de la médecine ;

VU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l'objet d'une attaque sans précédent ;

VU QUE les décideurs publics ont choisi d'imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l'approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s'est avérée sûre et plus efficace ;

VU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;

CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s'engager dans un discours professionnel ouvert et d'échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l'essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;

CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s'aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l'absence de traitement ;

CONSIDÉRANT que ceci n'est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l'humanité.

PAR CONSÉQUENT, IL EST

RÉSOLU, que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.

RÉSOLU, que l'intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l'art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l'autorisation d'exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d'assurance et l'ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d'échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.

IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D'ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.

IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l'intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.

RÉSOLU, nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.

RÉSOLU, que nous invitons les patients, qui croient en l'importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l'accès à des soins médicaux fondés sur la science.

EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Le serment d’Hippocrate (revu par l’Ordre des médecins français en 2012)
« Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque. »

2e déclaration de l’alliance de médecins pour protéger les enfants

Le 29 octobre 2021, les milliers de médecins et scientifiques réunis dans le cadre de cette alliance ont signé une deuxième déclaration visant à protéger la santé des enfants face à la pression vaccinale.

« Le consensus est clair parmi les médecins et les docteurs en médecine : après 20 mois de recherches exhaustives, des millions de patients traités, des centaines d’essais cliniques réalisés et des données scientifiques partagées dans le monde, ils concluent que les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID devraient être exclus des obligations vaccinales et des restrictions sociales.
Les médecins recommandent également des mesures législatives et administratives, pour éviter d’interrompre les traitements des médecins, ou de mettre davantage en danger les enfants en bonne santé ou ayant récupéré de la COVID. » explique l’alliance.

Cette nouvelle déclaration intervient alors que des décisions arbitraires et infondées sont prises pour forcer les enfants en bonne santé à se faire vacciner, sans qu’il n’y ait aucun avantage dans la balance bénéfice / risque, tout en imposant des mesures de plus en plus draconiennes contre des citoyens déjà immunisés.

Les mesures insensées et autoritaires prises principalement dans les pays occidentaux face à cette pandémie – extrêmement peu létale chez les personnes non âgées et en bonne santé – soulèvent de plus en plus de questions sur sa véritable origine et sa finalité alors que des vaccins délétères et invalidants sont imposés de manière autoritaire, aveugle et sans garde-fou.

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