Au Tchad, deux frères de l’ex-première dame Hinda Déby Itno sont « gardés » pour leur sécurité, selon la police, au siège des renseignements généraux depuis vendredi. Ils y sont aussi pour des besoins de l’enquête après l’assassinat d’un officier protagoniste dans un litige foncier avec un des fils de l’ancienne première dame. L’affaire a pris des proportions de règlements de compte entre familles.
Le 9 décembre dernier, le colonel Nousradine est abattu par deux inconnus à moto dans le centre-ville de Ndjamena. Quelques heures plus tard, c’est le domicile d’un frère de l’ex-première dame Khazali Ahmat Acyl qui est attaqué par une dizaine de véhicules transportant des hommes lourdement armés.
Le lien entre les deux scènes : l’officier abattu réclamait une propriété située au cœur de la capitale et enregistrée au nom d’un des fils mineurs de Hynda Déby, l’ex-première dame et sœur cadette de Khazali Ahmat Acyl.
Pour la famille du colonel Nousradine, le lien de cause à effet est vite établi. Son meurtre a été commandité par le frère de l’ex-première dame pourtant initialement sollicité comme médiateur dans ce litige foncier. La résidence étant enregistrée au nom d’un des fils mineurs de feu d’Idriss Déby Itno, les anciens occupants des lieux n’auraient pas accepté d’en être dépossédés…
Depuis dix jours, une commission d’enquête a été mise en place pour établir les responsabilités. Pour éviter que la vendetta ne se poursuive, tous les protagonistes ont été placés en sécurité dans les locaux des renseignements généraux.
Le lien entre les deux scènes : l’officier abattu réclamait une propriété située au cœur de la capitale et enregistrée au nom d’un des fils mineurs de Hynda Déby, l’ex-première dame et sœur cadette de Khazali Ahmat Acyl.
Pour la famille du colonel Nousradine, le lien de cause à effet est vite établi. Son meurtre a été commandité par le frère de l’ex-première dame pourtant initialement sollicité comme médiateur dans ce litige foncier. La résidence étant enregistrée au nom d’un des fils mineurs de feu d’Idriss Déby Itno, les anciens occupants des lieux n’auraient pas accepté d’en être dépossédés…
Depuis dix jours, une commission d’enquête a été mise en place pour établir les responsabilités. Pour éviter que la vendetta ne se poursuive, tous les protagonistes ont été placés en sécurité dans les locaux des renseignements généraux.
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