L’enquête se poursuit dans l’affaire de l’agression de la joueuse du Paris Saint-Germain, Kheira Hamraoui. Ainsi, Hayet Kébir, qui a demandé le divorce à son mari Éric Abidal, qui l’avait trompée avec la joueuse française d’origine algérienne, a déjà été entendue par la police judiciaire de Versailles. Partageant l’information sur son compte Instagram, elle dit se sentir désormais soulagée.
L’ex-directeur sportif du FC Barcelone, Éric Abidal, a été entendu mardi dernier par les enquêteurs en tant que témoin dans l’affaire de l’agression de la joueuse du Paris Saint-Germain, Kheira Hamraoui, avec qui il aurait eu une liaison, lors de son passage dans le club catalan. Sa femme, Hayet Kébir, qui avait demandé le divorce, pour avoir été trompée avec la joueuse française d’origine algérienne, a également été entendue, en début de semaine, par la police judiciaire de Versailles. Après quoi, Hayet s’est sentie libérée, en témoigne son message sur son Instagram.
« Soulagée. Heureuse. J’ai enfin été entendue par les services de la DRPJ de Versailles, comme je l’avais demandé, en tant que simple témoin. J’espère avoir aidé les enquêteurs. Mon futur ex-mari sera entendu bientôt… Bonnes fêtes à tous et prenez soin de vous », a déclaré Hayet Kébir. Beaucoup de ses fans n’ont pas hésité, comme d’habitude, à donner leur avis sur cette affaire, qui vient de briser complètement un foyer qui inclue quatre enfants. « Pourquoi continuez-vous avec le nom de famille Abidal ? », se demandé Dani Domínguez Perez.
« Actuellement, c’est encore son nom de famille, quand le divorce sera prononcé, elle ne sera officiellement plus Mme Abidal. Tout à fait logique », a expliqué Isha. « Le futur ex-mari, dur pour lui. Après tout, il l’a cherché. Je ne sais pas ce qu’il avait dans les yeux, mais Hayet est une très belle femme. Dommage pour lui. Bon courage à vous », a souhaité Karim. « Vous êtes un exemple de dignité, courage et classe. Un chapitre se ferme, mais un nouveau s’offre à vous avec tout le respect et l’amour que vous méritez », a, pour sa part, indiqué Selma Seghir.
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