Washington a menacé dimanche l’Iran de « graves conséquences » si ses ressortissants étaient « attaqués », au lendemain de l’annonce par Téhéran de sanctions à l’encontre d’une cinquantaine d’Américains.
Ces nouvelles sanctions interviennent au moment du deuxième anniversaire de l’assassinat du puissant général iranien Qassem Soleimani, tué début 2020 dans un raid américain à Bagdad, sur ordre du président de l’époque Donald Trump.
« Si l’Iran venait à attaquer n’importe lequel de nos citoyens, dont l’une des 52 personnes nommées hier, il ferait face à de graves conséquences », a déclaré dans un communiqué le conseiller américain à la sécurité nationale Jake Sullivan.
« Les États-Unis d’Amérique protégeront et défendront leurs citoyens. Cela inclut ceux servant actuellement les États-Unis, et ceux ayant servi par le passé », ajoute le communiqué.
Samedi, Téhéran a ajouté plus de cinquante citoyens américains à une liste de personnes accusées d’avoir participé d’une manière ou d’une autre à la prise de décision ou l’organisation de l’élimination du général Soleimani.
Parmi ces noms se trouvent notamment le chef d’état-major américain Mark Milley, et l’ancienne ambassadrice des États-Unis à l’ONU Nikki Haley.
« On dirait que je vais devoir annuler mes relaxantes vacances en Iran… », a ironiquement tweeté Mme Haley dimanche.
Lundi, le président iranien Ebrahim Raïssi avait menacé de vengeance les anciens dirigeants américains, dont Donald Trump, à l’occasion d’un rassemblement à Téhéran marquant l’anniversaire de l’assassinat du général.
L’Iran avait aussi déclaré quelques jours plus tôt que l’administration américaine actuelle de Joe Biden était « responsable » de la décision de M. Trump d’éliminer Soleimani.
Le 3 janvier 2020, un drone armé avait pulvérisé le véhicule à bord duquel se trouvait Qassem Soleimani, architecte de la stratégie iranienne au Moyen-Orient.
L’attaque nocturne, sur une route de l’aéroport international de Bagdad, avait fait craindre une guerre ouverte entre Téhéran et Washington, deux ennemis historiques.
« Si l’Iran venait à attaquer n’importe lequel de nos citoyens, dont l’une des 52 personnes nommées hier, il ferait face à de graves conséquences », a déclaré dans un communiqué le conseiller américain à la sécurité nationale Jake Sullivan.
« Les États-Unis d’Amérique protégeront et défendront leurs citoyens. Cela inclut ceux servant actuellement les États-Unis, et ceux ayant servi par le passé », ajoute le communiqué.
Samedi, Téhéran a ajouté plus de cinquante citoyens américains à une liste de personnes accusées d’avoir participé d’une manière ou d’une autre à la prise de décision ou l’organisation de l’élimination du général Soleimani.
Parmi ces noms se trouvent notamment le chef d’état-major américain Mark Milley, et l’ancienne ambassadrice des États-Unis à l’ONU Nikki Haley.
« On dirait que je vais devoir annuler mes relaxantes vacances en Iran… », a ironiquement tweeté Mme Haley dimanche.
Lundi, le président iranien Ebrahim Raïssi avait menacé de vengeance les anciens dirigeants américains, dont Donald Trump, à l’occasion d’un rassemblement à Téhéran marquant l’anniversaire de l’assassinat du général.
L’Iran avait aussi déclaré quelques jours plus tôt que l’administration américaine actuelle de Joe Biden était « responsable » de la décision de M. Trump d’éliminer Soleimani.
Le 3 janvier 2020, un drone armé avait pulvérisé le véhicule à bord duquel se trouvait Qassem Soleimani, architecte de la stratégie iranienne au Moyen-Orient.
L’attaque nocturne, sur une route de l’aéroport international de Bagdad, avait fait craindre une guerre ouverte entre Téhéran et Washington, deux ennemis historiques.
afp