Le ridicule ne tue pas, paraît-il. En tout cas, pas Boris Johnson. Jour après jour, les révélations humiliantes autour du «Partygate» se multiplient et Boris Johnson s’accroche. Sa prédécesseure, Theresa May, aurait démissionné à la divulgation de la première fête donnée à Downing Street. En fait, pour être honnête, vu l’austérité et la dignité du personnage, il n’y aurait sans doute jamais eu de fête. Tous les prédécesseurs de Boris Johnson auraient probablement démissionné entre les deuxième et quatrième révélations. Là encore, question d’honneur et de dignité. Mais pas Boris Johnson, pour qui ces deux qualités ne sont manifestement pas associées à la fonction de Premier ministre de sa majesté la reine Elizabeth II.
Au-delà des luttes politiques et débats animés qui font, d’habitude, le sel de la démocratie britannique, le spectacle offert ces dernières semaines à la Chambre des communes ne fait plus rire. Il serre le cœur. Surtout lorsque les quelques députés conservateurs décents encore présents dans cette enceinte tellement chargée d’histoire, et d’une grande histoire, s’expriment. Derrière leurs mots, on sent la honte, la peine. La réalité est là : Boris Johnson a tué le Parti conservateur, celui de Winston Churchill mais aussi de Margaret Thatcher.
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