Les sanctions de la CEDEAO qui ont abouti à la fermeture des frontières entre le Mali avec certains pays de l’Afrique de l’Ouest et des blocages financiers de la part de l’UEMOA commencent à se ressentir au Mali.
Les prix de certaines denrées de première nécessité fruit de l’exportation, commencent à grimper. Les populations qui se signalent toujours du côté des autorités de la transition organisent de plus en plus des chaînes de solidarité pour mieux supporter les conséquences d’une crise politico-diplomatique qui oppose les autorités maliennes à la cedeao, ainsi qu’à la France.
Les transporteurs transfrontaliers font partis du gros lot des impactés compte tenu de la fermeture des frontières. « Ils sont au chômage et croulent sous le poids des besoins familiaux quotidiens » alerte un citoyen malien sous le couvert de l’anonymat. Laissés à leur sort certains transporteurs ont néanmoins compté sur l’aide du mouvement politique et citoyen AN BIKO de la Présidente Fatoumata Niane Batouly. Cette dernière, très connue dans l’assistance des populations n’a pas manqué de se signaler auprès de ses compatriotes malgré la période de crise qui augure des lendemains incertains. Un pactole de 5 millions de FCFA a ainsi été distribué aux chauffeurs maliens bloqués à Kidira, à la frontière ente le Mali et le sénégal.
La crise au Mali impacte directement les populations qui espèrent un dénouement heureux qui sauvegardera les intérêts de leur pays.
Quite educational….looking forth to coming back. disponibilidad de spirabel en Argentina