Le géant du web a suspendu Google Maps en Ukraine, et il y a une bonne raison à cela.
Google a-t-il été parmi les premiers à voir arriver l’invasion russe en Ukraine ? Selon Vice Motherboard, qui citait il y a peu l’expert en renseignement open source Jeffrey Lewis, les premières traces des déplacements orchestrés par le Kremlin en Ukraine auraient été repérées sur les réseaux sociaux. En plus de Tinder, qui a “accidentellement” révélé la position géographique de plusieurs militaires russes, les plateformes de localisation GPS comme Google Maps auraient aussi joué un rôle déterminant dans l’appréhension des troupes armées, notamment après que plusieurs observateurs remarquent des embouteillages inhabituels à la frontière ukrainienne.
Google supprime Maps pour protéger les civils
Si l’utilisation de Google Maps a été utile aux spécialistes du conflit russo-ukrainien, l’application peut aussi se transformer en une arme redoutable une fois aux mains des Russes, qui pourraient notamment utiliser ces mêmes données pour repérer des postes de défense ennemis. C’est donc pour protéger la population locale que le GAFAM a pris la décision de couper son service Maps sur le territoire ukrainien. Dans le pays comme à l’international, il est désormais impossible d’accéder au trafic en temps réel. Il semblerait que ce soit la première fois que l’entreprise américaine prend ce type d’initiative dans un conflit armé, à l’heure où de nombreux acteurs privés et publics affirment publiquement leur soutien à Volodymyr Zelensky, tout en prenant diverses sanctions économiques et politiques contre la Russie.
Il faut dire que ce n’est pas la première fois que Google Maps et consorts sont cités dans une affaire militaire. Souvenez-vous en 2017, plusieurs bases secrètes avaient accidentellement dévoilé leur emplacement, après que des soldats aient pris l’habitude d’en faire le tour pendant leur footing matinal. “Je pense que les grandes entreprises de données ne veulent souvent pas voir à quel point leurs données peuvent être utiles”, explique ainsi Jeffrey Lewis à Motherboard.
Il faut dire que dans ce conflit plus que jamais, les technologies ont toutes leur importance. En guise de riposte aux nombreuses cyberattaques russes lancées ces dernières semaines, l’Ukraine a déployé sa propre armée cyber nationale. Parallèlement, les initiatives privées se multiplient : tandis qu’Elon Musk a déployé sa flotte de satellites privés pour garantir Internet au pays, le groupe Anonymous a lui aussi, déclaré la cyberguerre au Kremlin.
The Verge
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