L’opposant avait porté plainte après son arrestation pendant plusieurs jours en avril 2020, après la présidentielle contestée. Les juges ouest-africains ont énoncé une arrestation et une détention arbitraires et manifestent que l’État togolais avait aussi violé sa liberté d’expression. Lomé n’est condamné qu’à verser un franc symbolique, mais pour le camp d’Agbéyomé Kodjo, toujours poursuivi pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’État », « diffusion de fausses informations » et « troubles aggravés à l’ ordre public », l’essentiel n’est pas là.
rfi
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