Philippe Risoli commence une deuxième carrière au théâtre après avoir tout connu à la télévision. D’abord les paillettes, le succès…puis l’ombre et le retour à l’anonymat. Une période difficile maintenant derrière lui qui ne le fait pas pardonner à ceux qu’il considère aujourd’hui comme de faux-amis.
Adulé un jour, oublié le lendemain. C’est le constat amer qu’a dressé Philippe Risoli à nos confrères de Télé Star. Après avoir connu le succès sur la première chaîne et animé de nombreux programmes, l’animateur a totalement disparu des radars du jour au lendemain. Une situation qu’il n’a de son preuve aveu, pas compris à l’époque : « Naïvement, je pensais que les qualités professionnelles finissent toujours par l’emporter. Mais il y a dans ce métier un ramassis d’envieux et d’aigris qui vous foutent la tête sous l’eau », a-t-il déploré dans les colonnes du magazine.
De ces années à la télévision, il se souvient du meilleur mais ne veut pas pour autant oublier le pire. Il se rappelle avoir été touché par ceux qu’il considérait à l’époque comme des amis : « Un jour, un nouveau directeur des programmes arrive et certains, dont vous pensiez qu’ils étaient vos amis alors qu’ils lorgnaient votre place, finissent par vous la piquer. Je n’ai pas voulu le faire sur le moment mais je raconterai tout ça un jour… » a-t-il poursuivi sans souhaiter pour l’instant donner de noms.
Un soutien sans faille de sa famille et de ses proches
Jacques Chirac: le plus séducteur des présidents français
À deux reprises, il a su charmer les Français et on peut le dire, surtout les Françaises. Celui qui fut deux fois le Président de la République a toujours eu un goût prononcé pour les femmes, dont il s’amourachait souvent, le temps d’un instant ou… bien plus longtemps!
Éternel séducteur, au charisme et à la stature imposante, ni fonctions de l’État, ni même sa femme, Bernadette, n’ont réussi à calmer ses ardeurs. « Elles sont députées, ministres, conseillères, bourgeoises provinciales », c’est ce que raconte dans son livre Arnaud Ardoin, sur les confessions de Daniel Le Conte, confident de Jacques Chirac.
Éternel séducteur, au charisme et à la stature imposante, ni fonctions de l’État, ni même sa femme, Bernadette, n’ont réussi à calmer ses ardeurs. « Elles sont députées, ministres, conseillères, bourgeoises provinciales », c’est ce que raconte dans son livre Arnaud Ardoin, sur les confessions de Daniel Le Conte, confident de Jacques Chirac. Cliquez et découvrez le parcours sentimental très tumultueux du feu Président français!
Abandonné par sa seconde famille, celle de la télévision, c’est auprès des siens que Philippe Risoli a remonté la pente et retrouvé le sourire. L’ancien animateur a d’ailleurs estimé être chanceux d’avoir toujours pu compter sur sa famille et ses proches dans les bons mais aussi les mauvais moments.
gala