En Europe, 30 % des jeunes patients atteints ont du être pris en charge en soins s’intensifient.
Le nombre de formes aigues continue d’augmenter de facon anormalement par endroits, sans explication.
Après deux années d’interruption à cause du Covid, le congrès international d’hépatologie, réunissant tous les experts des pathologies du foie, à rouvert ses portes mercredi, à Londres. L’occasion pour l’Organisation mondiale de la santé de présenter les dernières données dont elle dispose sur les cas d’hépatites aiguës pédiatriques, qui intriguent et préoccupent la profession depuis les premiers signalements anormaux par l’Ecosse, début avril.
Si la pathologie existait déjà, <> , souligne le P Maria Buti, responsable santé publique à l’EASL, l’Association européenne pour l’étude des maladies hépatiques.
Au 20 juin, 894 cas avaient été notifiés à l’OMS, en provenance de 33 pays sur 5 continents, rapporte Philippa Easterbrook, experte à l’OMS. Soit 244 cas de plus qu’il y a un mois, mais pas uniquement des <>
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