Dans un documentaire diffusé par la chaîne allemande RTL ce 30 août, James Hewitt, ancien amant de Diana, est revenu sur leur liaison sulfureuse. Une intervention déplorable pour les Windsor…
Lady Diana, princesse de Galles… et fantôme incommodant jusqu’à la fin des temps? A l’exception du prince Harry, son fils cadet, la famille royale d’Angleterre n’a pas jugé utile de célébrer les 25 ans de la disparition de « la princesse des coeurs », ce 31 août 2022. Fixation sur l’avenir de la monarchie, fragilisé par la santé déclinante d’Elizabeth II. Hantise de réveiller les mauvais souvenirs aussi, alors que Camilla, rivale de Diana, règnera au côté de Charles et que Meghan Markle ne cesse de discréditer « La Firme ». C’est dire comme la récente prise de parole de James Hewitt, ancien amant de Lady Di, fantasmé à tort comme le vrai père d’Harry, devant les caméras de la chaîne allemande RTL a fortement agacé du côté des Windsor.
Dans le cadre d’un documentaire diffusé le 30 août, l’ancien officier de cavalerie, dont la vie a pris un tournant misérable après sa rupture avec la princesse de Galles en 1991, déblatère avec le degré d’indiscrétion de ceux qui n’ont plus rien à perdre. Leur rencontre lors d’un cocktail en 1986, leur flirt poursuivi lors de cours d’équitation donnés à William et Harry, leurs étreintes hebdomadaires à Kensington, dans un cottage du Devon ou en voiture… Le sexagénaire rouvre la boîte de Pandore sans aucune précaution. Ni aucun complexe.
« Rien n’était secret, pas même nos conversations téléphoniques »
Vigoureux, mais pas très futé à l’évidence, Hewitt assure qu’il n’était « pas du tout au courant » de la débâcle conjugale des époux de Galles. Pire, l’ancien officier déclare, au sujet des liaisons respectives de Charles et Diana, que « tout cela était accepté en plus haut lieu », comprenez par Sa Majesté elle-même. « Rien n’était secret, pas même nos conversations téléphoniques », avance-t-il. Pour preuve, « Diana a utilisé un jour mon téléphone fixe pour appeler la reine à Balmoral », se souvient-il. « C’était dangereux, stupide et naïf », reconnaît Hewitt. Mais il se serait engagé dans leur liaison comme s’il s’agissait d’une mission militaire : « Prendre une décision et s’y tenir, c’est quelque chose qu’on apprend à l’armée. »
Le stress ne l’a pas épargné. James Hewitt a fini par faire un AVC, l’an passé. Il ne nourrit pas de regret, ni de remord pour autant. Bien qu’oublié dans les bras d’autres amants, il « aime encore » Diana, qui « continuera d’occuper une place importante dans (sa) vie. » Il a cet autre message à l’attention de Charles, William et Harry : « J’espère sincèrement qu’ils ont compris que j’ai essayé de rendre la princesse heureuse pendant notre liaison de 5 ans. Cela me tenait beaucoup à coeur. » Comble de l’audace…
gala