Une fois de plus, Charles III se démarque d’Elizabeth II. À quelques semaines de Noël, le père des princes William et Harry a pris une importante décision pour marquer son engagement pour la cause animale… qui pourrait ne pas plaire à Kate Middleton, selon le Daily Mail de ce mardi 22 novembre.
À l’approche de Noël, Kate Middleton pourrait bien se sentir frustrée à cause de Charles III. Fervent défenseur de l’écologie et de la cause animale, le roi n’a jamais caché son désamour pour le foie gras. Un mets tout particulièrement apprécié de la duchesse de Cambridge et qu’elle aurait choisi lors d’un déjeuner avec Camilla Parker Bowles, au restaurant Koffmann à Knightsbridge, quelques semaines avant son mariage avec William, rapporte le Daily Mail ce mardi 22 novembre.
Le fils d’Elizabeth II faisant « campagne contre le foie gras depuis qu’il a ordonné à ses chefs de ne plus en acheter en 2008 » pour sa résidence à Clarence House, son épouse aurait alors opté pour « du lapin ». De quoi « maintenir l’harmonie conjugale », commentent nos confrères d’outre-Manche. Si la maman de George, Charlotte et Louis profite de ses sorties pour déguster cette spécialité française « créée par le gavage des oies », pas question d’en servir à Buckingham Palace depuis que le prince Charles est devenu roi.
Charles III salué par l’association Peta
Dans une lettre envoyée le 10 novembre dernier à l’association Peta, la maison du roi a fait savoir : « Je peux confirmer que le foie gras n’est pas acheté par la maison royale ni servi dans les résidences royales et qu’il n’est pas prévu que cette politique change ». Face à la décision du père des princes William et Harry, l’association qui milite pour les droits des animaux lui a fait parvenir une boîte de « faux gras » qui est servie dans le restaurant vegan d’Alexis Gauthier, à Londres.
Dans un communiqué de presse, l’organisation a invité « tout le monde à suivre l’exemple du roi et à ne pas manger de foie gras à Noël et après ». Là encore, Charles III se différencie de sa mère Elizabeth II qui appréciait cette spécialité qui lui avait été servie lors d’un dîner d’État à Paris avec l’ancien président François Hollande, en juin 2014.
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