Carlo Ancelotti est plus que dans une situation compliquée. Le manque de confiance du club envers l’entraîneur, s’accentue et le vestiaire est plus agité que jamais avec l’offre de la Confédération Brésilienne de Football sur la table.
Si Florentino Pérez était contrarié fin janvier par le match nul au Bernabéu contre la Real Sociedad (il n’aimait pas Camavinga au poste d’arrière latéral) et furieux du match nul 1-1 dans le derby du weekend dernier (il exigeait que les titulaires soient toujours sur le terrain),nul doute que la colère sera encore plus grosse après la défaite contre un Barça plus dépourvu en demi-finale aller de la Coupe du Roi à Bernabéu.
Carlo Ancelotti en est conscient. Depuis quelques mois, il ne fait plus l’unanimité. Et la proposition de la Confédération brésilienne de football (CBF) d’entraîner son équipe nationale avant sa retraite, s’est transformé en un cadeau empoisonné qui s’est retourné contre lui dans tous les coins de Valdebebas.
Selon El Relevo, le conseil d’administration du Real Madrid a appris l’intérêt de la Seleçao pour Carlo Ancelotti un prétendu pacte verbal, lors de la Coupe du monde des clubs à Rabat. Et c’est là, déjà conditionnée par la défaite lors du précédent Clasico en Arabie, qu’une relation club-entraîneur jusqu’alors exemplaire a commencé par dégrader.
Pour plusieurs proches du club, le technicien Italien dont son contrat termine en juin 2024, pourrait quitter plutôt que prévu. Personne, absolument personne, n’a eu un mot avec lui jusqu’à présent en 2023 pour commencer à planifier l’effectif de la nouvelle saison. Et qu’il y a des urgences, notamment des renouvellements, qu’en cours de route il a été nécessaire de résoudre des cas comme Fran García ou Brahim, et que Bellingham a besoin de voir des gestes pour être convaincu. Les noms qui sont diffusés ou publiés lui sont étrangers, car il a décidé de se concentrer sur le présent parce que l’avenir peut être sans lui.
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