Le Burkina Faso a décidé de relever le défi et de poursuivre son objectif de mobiliser des fonds malgré les difficultés de liquidité qui prévalent actuellement.
Après avoir reporté son intervention en début mars 2022, le pays est revenu le 15 mars avec une émission de bons et obligations assimilables du trésor (BAT de 6 mois et OAT de 3 ans), dans l’espoir de mobiliser 30 milliards FCFA.
Bien que cette émission n’ait pas atteint son objectif, elle a permis au pays de lever 10,76 milliards FCFA, soit 35,87% du montant mis en adjudication. Cette réussite est due en grande partie à la forte participation des investisseurs burkinabés, qui ont contribué à hauteur de 95%, tandis que les 5% restants ont été assurés par des investisseurs ivoiriens.
Les bons de 6 mois ont attiré un montant de 4,56 milliards FCFA, avec des taux en hausse à 5,89% et 5,12% respectivement pour les taux marginal et moyen pondéré. De leur côté, les OAT de 3 ans ont permis de lever 6,2 milliards FCFA, avec des prix marginal et moyen pondéré respectifs de 9 600 FCFA et 9 721 FCFA. Les rendements moyens pondérés se sont établis à 5,26% pour la maturité de 6 mois et 6,76% pour celle de 3 ans.
Malgré les défis économiques actuels, le Burkina Faso a réussi à mobiliser des fonds pour financer ses projets grâce à cette émission réussie de BAT et d’OAT.
Le Burkina Faso a décidé de relever le défi et de poursuivre son objectif de mobiliser des fonds malgré les difficultés de liquidité qui prévalent actuellement.
Après avoir reporté son intervention en début mars 2022, le pays est revenu le 15 mars avec une émission de bons et obligations assimilables du trésor (BAT de 6 mois et OAT de 3 ans), dans l’espoir de mobiliser 30 milliards FCFA.
Bien que cette émission n’ait pas atteint son objectif, elle a permis au pays de lever 10,76 milliards FCFA, soit 35,87% du montant mis en adjudication. Cette réussite est due en grande partie à la forte participation des investisseurs burkinabés, qui ont contribué à hauteur de 95%, tandis que les 5% restants ont été assurés par des investisseurs ivoiriens.
Les bons de 6 mois ont attiré un montant de 4,56 milliards FCFA, avec des taux en hausse à 5,89% et 5,12% respectivement pour les taux marginal et moyen pondéré. De leur côté, les OAT de 3 ans ont permis de lever 6,2 milliards FCFA, avec des prix marginal et moyen pondéré respectifs de 9 600 FCFA et 9 721 FCFA. Les rendements moyens pondérés se sont établis à 5,26% pour la maturité de 6 mois et 6,76% pour celle de 3 ans.
Malgré les défis économiques actuels, le Burkina Faso a réussi à mobiliser des fonds pour financer ses projets grâce à cette émission réussie de BAT et d’OAT.
