Dans les colonnes d’Ici Paris, Clémence, l’une des aventurières de Koh-Lanta, le Feu sacré, s’est confiée sur un signe récurrent qui lui rappelait sa soeur assassinée, lorsqu’elle était sur l’île pendant le tournage.
Parmi les candidats de Koh-Lanta, le Feu sacré, certains sortent du lot, et Clémence en fait définitivement partie. La jeune aventurière brille par ses performances individuelles, elle qui s’est souvent mesurée à la très sportive Helena dans les épreuves. « Avec Clémence, on avait les mêmes capacités physiques et mentales. Pour moi, c’est elle la meilleure, et on voit qu’elle et moi sommes toujours les premières dans les épreuves », nous avait confié Helena, après sa sortie du jeu.
Battante, déterminée et possédant une vraie force de caractère, Clémence a également profité de sa participation à l’émission pour se confier sur un drame personnel, l’assassinat de sa grande soeur enceinte, il y a plus de dix ans. Agée de seulement 27 ans à l’époque des faits et déjà maman d’une petite fille, la grande soeur de Clémence avait été abattue en pleine nuit à son domicile, avec un fusil de chasse.
Un joli signe sur le camp qui rappelait à Clémence sa grande soeur
Transparente sur cette épreuve qui a bouleversé sa famille, Clémence avait néanmoins précisé dans les colonnes de Télé-Loisirs que l’émission ne lui avait pas servi à faire son deuil. « Faire Koh-Lanta ne m’a pas aidée à passer à autre chose ou à faire mon deuil. C’est un événement familial qui se vit entre proches. Participer à une aventure individuelle ne peut pas faire tout oublier à une famille entière. La page ne sera jamais tournée, elle fait partie de notre histoire, il faudra continuer à avancer avec », avait-elle confié.
Dans les colonnes d’Ici Paris, la jeune femme est revenue sur le drame, expliquant notamment que le sport et ses amis l’avaient aidée à s’en sortir. Clémence a également avoué qu’à certains moments, sa soeur fut une force pour elle lorsqu’elle était dans Koh-Lanta. « Ma soeur avait un papillon tatouée sur le corps. J’en avais parlé à Gilles et dès qu’on voyait un papillon, on se disait que c’était un signe », a-t-elle déclaré. Puis d’ajouter : « Ces petits moments où je pensais à elle me faisaient chaud au coeur et me donnaient un regain d’énergie ». Des souvenirs gravés à jamais dans la mémoire de l’une des guerrières de la saison.
VOICI