Javier Santiso : « Edward Hopper peint sa propre solitude, non celle des villes »

Dans Premières cette semaine, Axelle Simon nous parle du roman de Javier Santiso « Un pas de deux » (Éditions Gallimard). L’auteur dévoile une facette méconnue de l’un des peintres américains les plus connus du XXe siècle : Edward Hopper. Son portrait est narré par la voix de sa femme Josephine, peintre elle aussi, qui s’est effacée et sacrifiée. On y découvre leur histoire tourmentée et complexe dans un style musical, rythmé comme une incantation et porté par une écriture imagée et joyeusement poétique.

france24

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