Malgré la tension des nominations, l’humeur est joyeuse au château de Dammarie-les-Lys. Djebril, pourtant sur la sellette, a trouvé un surnom à son amie Héléna au regard de son apparence physique, mais la Belge n’a pas l’air d’avoir apprécié.
On prend les mêmes et on recommence. Car, si Djebril et Candice ont obtenu un sursis la semaine dernière, fêtes de Noël oblige, ils n’ont pas bénéficié de la même mansuétude du corps professoral et se retrouvent sur le banc des nominés. Encore une fois.
La douce et jeune femme a déjà été repêchée à cinq reprises par le public, tandis que le Niçois, qui rêve d’emménager à Paris, a déjà préparé ses valises cinq fois.
Tous deux ont accueilli la nouvelle différemment ; Djebril a préféré rire de la situation, conscient que son niveau était en-deça de celui de ses camarades, quand son acolyte d’infortune s’est réfugiée dans le mutisme, blasée de ne pas sortir du bas du classement.
« Tout me frustre, je suis jalouse de tout, j’envie tout des autres.
Alors que ce n’est pas leur faute, les pauvres, ils n’y peuvent rien. Tout m’énerve, tout me donne envie de brûler quelque chose », a-t-elle avoué à Cécile Chaduteau lors d’un cours d’expression scénique.
Pourtant, malgré les tensions inhérentes à la compétition, les élèves savent se détendre.
Et n’importe quel moyen est bon pour relâcher la pression, la musique comme les imitations. Dans la quotidienne diffusée le jeudi 28 décembre, Axel et Djebril ont repris (avec brio) les tics de langages de leurs répétitrices en chef, Lucie Bernardoni et Marlène Schaff, faisant éclater de rire l’assistance.
Héléna n’a pas apprécié le sobriquet trouvé par Djebril
En revanche, Héléna n’arborait pas le même rictus lorsque le mauvais élève de la semaine lui a balancé son nouveau surnom. « Tu ressembles grave à un Gnocchi », lui a indiqué Djebril, avant d’expliquer les raisons de ce sobriquet : « C’est vraiment la même, tu ressembles à un petit gnocchi avec ton chignon. »
Pas convaincue, la Belge a laissé poindre son seum dans le confessionnal. « Je ne trouve pas que je ressemble à un gnocchi », a lâché celle qui était passée entre les mains d’un coiffeur.
« Moi, personnellement, je ne prends pas ça comme quelque chose de positif. Donc, ça veut dire que je suis une petite patate, pas du tout ! » Attention à ce que ça ne se frite pas au château !
voici