Johnny Thompson : comment la vie de l’écuyer sexy de Charles III a viré au cauchemar

Jonathan Thompson, écuyer très sexy de Charles III, a déchainé les passions ces derniers mois. Funérailles de la reine Elizabeth II, couronnement de Charles III, les photos et vidéos du lieutenant-colonel sont devenues virales sur internet. Une gloire, ou plutôt, un déchainement médiatique, que le beau gosse ne supporterait plus… Explications.

Il est surnommé « Johnny Hot T ». Inconnu il y a quelques années encore, Johnny Thompson a été propulsé sous le feu des projecteurs.

A chacune de ses apparitions, l’écuyer de Charles III a la beauté indéniable, créé l’émoi. Regard franc, sourire charmeur, le quadragénaire ne quitte jamais son traditionnel kilt et tout son attirail écossais. Au point de voler la vedette au nouveau monarque… Mais surprise le 21 février dernier. Alors que Charles III recevait le Premier ministre Rishi Sunak dans un salon du palais de Buckingham pour leur audition hebdomadaire, une première depuis l’annonce de son cancer, aucune trace de Johnny Thompson à ses côtés.

D’ordinaire dans l’ombre du roi, le lieutenant-colonel est toujours là pour l’assister dans ses fonctions. Oui mais voilà, le séduisant officier au 5e bataillon du Régiment Royal d’Écosse était absent. Il se murmure qu’il ne supporterait plus sa surexposition médiatique…

Tout a commencé à la mort de la reine Elizabeth II.

Celui qui occupait la fonction d’écuyer de la reine lors de ses séjours à Balmoral est soudainement propulsé en pleine lumière. Devenu écuyer du roi Charles III, il a joué un rôle central dans plusieurs événements entourant les funérailles de la reine Elizabeth II. Dès lors, la moindre de ses apparitions affole les réseaux sociaux.

Et les aficionados de la couronne britannique de le surnommer avec malice : « Major Eye candy » (régal pour les yeux). Un simple geste et la Toile s’enflamme : retirer calmement un plumier qui encombre le bureau du roi le jour de sa proclamation ou encore escorter le cercueil de la reine du palais de Buckingham à Westminster Hall, ces moindres faits et gestes lui valent des commentaires enflammés.

Elizabeth II et Johnny Thompson à Balmoral en août 2018

Une pression médiatique ingérable

Mais c’est le 6 mai dernier, au couronnement de Charles III et de Camilla sous les voûtes ancestrales de l’abbaye de Westminster, que l’attention médiatique connaît son apogée. Le séduisant quadragénaire était de tous les plans, aux petits soins pour le roi tout au long de la cérémonie. Ce qui n’a pas échappé au célèbre magazine Tatler qui en juin dernier, l’a placé en 3ème position des personnalités britanniques les plus influentes dans son « Social Power Index ».

Quelques mois plus tard, il est à nouveau sous le feu des projecteurs, lors du séjour de Charles III et de Camilla en France. Dans la capitale, son sourire ravageur et son traditionnel kilt font fureur, du perron de l’Elysée, à la galerie des glaces du château de Versailles en passant par le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Rien ne prédestinait pourtant le lieutenant-colonel Thompson, né à Morpeth, dans le Northumberland à cette notoriété planétaire.

D’un naturel discret, celui qui a fréquenté l’université d’Aberystwyth, où il a obtenu en 2004 un diplôme en économie et politique avec études internationales, n’aime rien de moins que s’adonner à ses passions comme le rugby et l’alpinisme. Une existence paisible dans le Surrey, loin, très loin des projecteurs. Cette attention médiatique, il ne l’a jamais désiré. Et aujourd’hui elle semble peser lourd, trop lourd sur les épaules du bel écuyer, qui a récemment été photographié main dans la main avec sa nouvelle petite amie, prénommée Olivia Lewis, lors d’une sortie privée.

Trop c’est trop ? En coulisses, il fallait réagir pour protéger celui qui a été récemment promu « super écuyer du roi ».

La raison de son absence lors de la dernière apparition officielle de Charles III ? Le beau quadragénaire devrait désormais jouer un rôle « plus exécutif et moins tourné vers le public », confie une source du palais au Times. Si Johnny Thompson continuera d’aider le monarque, ce sera désormais dans ses affaires privées,« exerçant ses fonctions loin des yeux du public ». Fini donc la surexposition médiatique pour « Johnny Hot T » et les vidéos le détaillant sous toutes les coutures sur les réseaux sociaux. Pour vivre heureux, il vivra caché.

gala

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