Anthony Delon célibataire et « coeur à prendre » après trois relations toxiques : Rares confidences sur ses amours

Un « coeur à prendre » souvent déçu ! S’il n’hésite pas à aborder les nombreuses histoires autour de sa famille dans les médias, Anthony Delon reste bien plus discret lorsqu’il s’agit d’évoquer sa vie sentimentale. Pudique, c’est dans son nouveau roman, « Bastingage », qu’il a tenté de s’ouvrir. En s’inspirant au passage de trois histoires d’amour difficiles…

Difficile d’être discret avec un nom comme le sien : sous le feu des projecteurs depuis son enfance, Anthony Delon n’est pas du genre à vouloir se cacher des médias. Omniprésent lorsqu’il s’agit d’évoquer les brouilles familiales, pour défendre les membres de son clan, le quinquagénaire est cependant discret sur un sujet : sa vie sentimentale !

Particulièrement pudique, même s’il s’est affiché au fil du temps avec plusieurs compagnes, il n’évoque en effet que très rarement le sujet.

Mais récemment, il a trouvé un moyen de se libérer du poids de son passé : dans son nouveau roman, Bastingage, largement inspiré de son vécu, le fils aîné d’Alain Delon n’hésite pas à décrire des histoires d’amour toxiques. Qui ressemblent en partie à celles qu’il a connues, comme il l’a confié à nos confrères de Libération.

« J’ai vécu trois liaisons comme ça, qui allaient crescendo dans la toxicité », a-t-il en effet expliqué dans le portrait du jour de Libération qui lui est consacré. « La vie est ainsi faite. Il y a des choses qu’on doit réparer de nos vies passées, elles sont inscrites dans notre mémoire cellulaire. Si tu ne comprends pas, la vie t’enverra des obstacles encore plus durs jusqu’à ce que tu comprennes ».

Une construction difficile pour Alain Delon
Fataliste, l’acteur, qui est aujourd’hui un « coeur à prendre » après plusieurs années avec l’actrice Sveva Alviti, ne précise bien sûr pas de quand datent ces liaisons si marquantes pour lui. Cependant, il n’hésite pas à lier « son attrait pour les relations toxiques » à un sérieux manque d’amour durant son enfance, lui qui a grandi dans l’ombre de parents célèbres et notamment d’un père plutôt autoritaire.

« Le syndrome du soignant vient d’un manque d’amour et d’estime de soi.

Tu veux réparer l’autre et la gratitude de celui que tu vas aider comble un vide en toi », comprend-il aujourd’hui, avec un peu de recul. « Gamin, c’est toujours de notre faute. On ne peut pas dans notre construction d’enfant remettre en cause le parent. Un enfant battu se dit que c’est lui qui a mal fait. Cette culpabilité peut l’amener plus tard à accepter l’inacceptable. Comme la drogue. L’amour toxique, c’est une drogue ».

Une drogue dont il va désormais tenter de se sortir, notamment grâce à son livre. Mais aussi à son entourage proche : à 59 ans, il est l’heureux papa de trois filles, Alyson, 37 ans, née d’une liaison avec une danseuse, et Loup et Liv, 28 ans et 22 ans, dont la mère est son ex-femme Sophie Clérico, dont il est très proche et très fier.

Et qui ne doivent attendre qu’une chose… que leur papa retrouve l’amour, et soit heureux !

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