Avec le cancer de Charles III, le prince William a accéléré sa préparation au trône et aurait même peaufiné les actions qu’il aimerait mener une fois qu’il sera roi. Alors, à quoi ressemblera la monarchie britannique sous son règne ?
Petit-fils d’Elizabeth II et fils de Charles III, le prince William aura eu le temps d’observer au plus près l’exercice du pouvoir, de sa naissance à son arrivée sur le trône. Alors que l’avenir de son père à la tête de la monarchie a été quelque peu assombri par l’annonce de son cancer, en février 2024, l’héritier de la Couronne britannique aurait déjà en tête des changements majeurs qu’il aimerait opérer au sein de la Firme lorsqu’il sera roi, rapporte The Express ce vendredi 3 janvier d’une source proche du Palais.
Parmi les mesures en question figurerait notamment la réduction des membres actifs de la famille royale, un travail que Charles III a déjà plus ou moins entamé depuis 2022. Cela impliquerait, de fait, moins de patronages royaux et une diminution d’engagements publics. Le prince de 42 souhaiterait aussi dire adieu au Commonwealth, composé de 56 États membres presque tous d’anciens territoires de l’Empire britannique.
Le prince William, un futur roi « avec un petit “r” »
The Express révèle aussi que William aimerait un couronnement et des cérémonies en son honneur « réduits à leur plus simple expression », afin de faire des économies et d’éviter de nouvelles polémiques sur les dépenses de la Couronne. Il pourrait par ailleurs choisir de « se concentrer sur sa famille », particulièrement éprouvée par la maladie de Kate Middleton en 2024.
Si ces informations n’ont, naturellement, pas été confirmées par le principal intéressé ou Kensington Palace, il semble logique qu’elles soient bien le résultat du cheminement de William ces dernières années.
Lors de son séjour en Afrique du Sud, début novembre dernier, le prince avait laissé entendre qu’il souhaitait rendre se rendre plus accessible. « J’essaie de faire les choses différemment et de les faire pour ma génération. Et pour que vous compreniez mieux, je le fais avec un petit « r » dans le mot « royal ». Il s’agit davantage de philanthropie d’impact, de collaboration, de rassemblement et d’aide aux personnes », avait-il alors déclaré.
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