En 1974, la star rencontre le prince Charles avec qui elle développe une amitié qui aurait pu prendre une autre tournure. À l’époque, le fils d’Elisabeth II est un jeune soldat de la royal navy et rencontre son idole lors d’une mission en Californie. « J’ai toujours été un grand admirateur de l’actrice et chanteuse incroyablement polyvalente, Barbra Streisand », livrait-il le mois dernier dans une émission de radio anglaise.
« Quand j’ai appris qu’elle tournait le film “Funny Lady” dans les studios Warner Bros… J’ai eu la chance de visiter le plateau et de la rencontrer là-bas. » L’artiste est alors âgée de 32 ans, lui, n’a pas encore la trentaine et n’a jamais croisé le chemin de Diana Spencer. Cette rencontre lui laisse un souvenir vibrant : « Je n’oublierai jamais son talent éblouissant et effervescent, ainsi que la vitalité et l’attrait unique de sa voix et de son talent d’actrice », confie le prince Charles. Des souvenirs vieux de 47 ans, qui ont fait réagir l’intéressée.
Barbra Streisand, princesse ?
Après avoir eu vent de ces compliments, la diva a elle aussi remercié son ami lors d’une interview avec le journaliste britannique Ross King. L’artiste s’est alors remémoré leur rencontre. « Il a demandé à me rencontrer. Alors il est venu au studio d’enregistrement. Je lui ai offert une gorgée de thé et j’ai pensé : “N’auraient-ils pas dû vérifier que je ne tente pas de l’empoisonner ?” », se demande alors la jeune femme. « Après cela, nous sommes devenus amis, et il m’a invitée à Highgrove, où j’ai participé à une collecte de fonds pendant un week-end », se souvient-elle. Dans les jardins de la demeure royale où elle est conviée, Barbra Streisand admire les sublimes parterres de fleurs puis repart en tournée.
Plus tard, alors qu’elle séjourne dans un hôtel à Londres, on lui apporte un bouquet de fleurs fraîchement coupées. Lorsqu’elle demande qui en est l’expéditeur, son assistant lui répond : « Un fan qui s’appelle Charles. » « J’ai répondu : “Vraiment ? Laisse-moi voir le mot”— son sceau royal se trouvait là. Ces fleurs ne venaient pas d’un fleuriste mais de ses jardins. » Une anecdote amusante à laquelle l’artiste fait référence lors d’un concert à Hyde Park, alors que le duc de Cornouailles se trouve dans le public. « Si j’avais bien joué mes cartes, j’aurais pu être la première princesse juive », plaisante-t-elle sur scène.
Source: elle
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