Aujourd’hui installé à Los Angeles, Omar Sy reste attaché à la France, mais aussi au Sénégal, son pays d’origine.
Ce lundi 17 février, dans En aparté, il nous a présenté le thiakry, un dessert provenant d’Afrique de l’Ouest : « C’est du yaourt, du lait un peu travaillé, un peu fouetté. Là il est un peu épais, et après c’est de la semoule de mil. J’aime pas trop ca !«
Ce plat, il l’a déjà préparé à ses enfants, lui qui en a eu cinq avec son épouse Hélène (Selly, Sabah, Tidiane, Alijah et Amani-Nour). « Ils ne sont pas tous fans, mais il y’en a quelque uns qui aiment vraiment. Nous les Peuls (établi dans toute l’Afrique de l’Ouest), le lait nous accompagne dans toutes ses formes. »
Dans la foulée, Omar Sy s’est montré ému, lorsque Nathalie Lévy a profité de cette discussions pour lui montrer des images de l’endroit d’où sont originaires ses parents, entre le Sénégal et la Mauritanie.
« Ah je vais pleurer…J’aime beaucoup cet endroit. J’y vais au moins une fois par an. Toute ma famille est de là-bas, j’y ai passé quelques étés (…) Mes enfants connaissent cet endroit. Ils y vont moins souvent que moi mais oui ils connaissent. »
L’acteur de 47 ans a également eu quelques mots pour la mère de ses enfants, avec qui il est en couple depuis 27 ans déjà, comme l’a précisé Nathalie Lévy : « Ca passe tellement vite…En tout cas nous on savait dès le départ que ce serait compliqué. On a dû se battre très vite. C’est pas non plus facile, c’est comme tout le monde, on a nos trucs, mais ca va on tient (…) Sans eux (sa femme et ses enfants, ndlr) je serais plus le même, c’est évident. »
Pour rappel, ils se sont déjà séparés par le passé, comme l’avait explique Hélène dans le livre Viens on se parle d’Elsa Vigoureux, dans lequel la journaliste rencontre l’acteur : « En août 1999, j’ai quitté Omar.
Il m’avait annoncé qu’il voulait faire de la télé. Moi, je suis allée travailler dans une Maison d’accueil spécialisée pour psychotiques et trisomiques.
Et il est venu me chercher là-bas, dans sa voiture de location, Une Ford Ka verte, avec un bouquet de roses. Il était amoureux, il voulait me reconquérir. Moi aussi j’étais très amoureuse, je le trouvais tellement gentil, il me faisait beaucoup rire, je le trouvais touchant aussi, et tout paraissait aller de soi avec lui. On se reconnaissait l’un l’autre, de manière évidente.
Mais c’était aussi la rencontre de deux mondes.«
Il est vrai que leurs « trajectoires » n’avaient « pas grand-chose » en commun, comme le constatait Elsa Vigoureux, en revenant sur leur rencontre. Mais l’amour aura fini par prendre le dessus et triompher !
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