Un défibrillateur chez soi ? Ce qui semblait impossible devient enfin réalité !

Un nouveau défibrillateur simple d’utilisation et accessible financièrement permet d’augmenter significativement le taux de survie en cas d’arrêt cardiaque, qui n’est que de 5 % actuellement, car il faut agir dans les quatre premières minutes.

Tout le monde a en tête la célèbre chanson Stayin’ Alive des Bee Gees. Son rythme, proche des 100 battements par minute, correspond au tempo idéal pour pratiquer un massage cardiaque et tenter de relancer le cœur en cas d’arrêt.

Plus de personnes seront formées, plus le taux de survie augmente, car 80 % des arrêts cardiaques ont lieu à domicile ou sur le lieu de travail, et dans 70 % des cas, un témoin peut intervenir et changer les choses avec des gestes simples et si possible avec un défibrillateur. Encore faut-il en disposer d’un, car si la loi l’a rendu obligatoire dans de nombreux lieux qui reçoivent du public, l’appareil reste encore coûteux à acquérir et complexe à utiliser.

La start-up française Lifeaz a donc conçu Clark, le premier défibrillateur pour les particuliers accessible financièrement.

Permettre à tous les citoyens de sauver une vie
Clark doit « permettre à tous les citoyens et à toutes les entreprises d’être capables de sauver une vie ». Après cinq années de recherche et développement avec des cardiologues, des rythmologues et des urgentistes, mais aussi les pompiers de Paris, l’appareil a même obtenu la certification médicale européenne garantissant qualité et conformité.

En plus de sa simplicité d’utilisation, Clark est connecté pour un suivi et une maintenance facilités et est accompagné d’une application de formation aux gestes qui sauvent.

« À ce jour, plus de 20 000 familles et entreprises sont équipées de notre défibrillateur et plus de 70 vies ont pu être sauvées », se réjouit Lifeaz.

futura

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