Au cours d’un entretien accordé à Paris Match, ce 14 mai, Julien Clerc s’est longuement épanché au sujet de sa relation avec sa fille adoptive Angèle. Aux côtés de la désormais scénariste, l’artiste a raconté avoir traversé un « chemin d’amour ».
C’est une décision que l’artiste ne regrette absolument pas. À l’occasion de la sortie prochaine de son 28e album, intitulé Une vie – à paraître le 23 mai prochain –, Julien Clerc s’est entretenu avec le magazine Paris Match. Au cours de cet entretien, paru ce mercredi 14 mai, le chanteur de 77 ans s’est livré sur sa carrière, sa vie privée, mais surtout sur la relation privilégiée qu’il entretient avec Angèle Herry – la fille de Miou-Miou avec qui il a été en couple –, qu’il a élevée comme sa propre fille depuis ses 25 ans.
« [Je l’ai] prise pour mon enfant, parce que j’aimais sa maman et que j’ai décidé d’élever, parce que sinon elle aurait grandi sans père », a d’abord concédé Julien Clerc.
Et si le père biologique d’Angèle Herry (Patrick Dewaere, NDLR) avait « décidé de couper une bonne fois pour toutes le lien » qui l’unissait à elle, Julien Clerc a alors tout fait pour l’élever comme sa propre fille. Dès lors, une tendre relation s’est créée entre eux.
« J’ai beaucoup appris grâce à elle. On a fait un chemin d’amour intéressant, elle et moi, parsemé d’embûches », a-t-il poursuivi.
Et à l’issue de plusieurs années de cohabitation et d’une profonde réflexion, la désormais scénariste lui a fait un cadeau inespéré. « La récompense a été le jour où elle m’a demandé de l’adopter, elle avait 17 ans », s’est-il souvenu. Une journée ancrée à tout jamais dans sa mémoire !
Julien Clerc raconte le jour où Angèle lui a demandé de l’adopter
À nos confrères, Julien Clerc a assuré avoir gardé un souvenir « intact » de cette journée riche en émotions. « Nous étions dans la rue, on revenait de faire des courses pour le dîner et elle m’a demandé : ‘Papa, tu voudrais m’adopter ?’ », a-t-il ainsi expliqué.
Une demande surprise faite par Angèle à laquelle l’artiste avait accepté sans broncher.
« Pff ! Elle avait évidemment réfléchi à ça avec sa maman », a-t-il soufflé avec humour. Avant de poursuivre, attendri par les intentions de sa fille : « Son désir était d’être traitée comme tous les enfants, le jour venu. »
gala
