Au Bénin, la dynamique économique s’est traduite, en 2020, par la réalisation d’un taux de croissance économique estimé à 3,8% contre 6,9% en 2019. Selon la Bceao, ce résultat est obtenu grâce aux performances du secteur agricole (produits d’exportation et production vivrière) et à la mise en œuvre satisfaisante du Programme d’actions du gouvernement en dépit du contexte engendré par la pandémie de Covid-19.
Dans son rapport sur la Balance des paiements et la position extérieure globale du Bénin, la Bceao informe que le solde global de la balance des paiements s’est ressenti de cet environnement, en affichant un excédent de 306.937,9 millions en 2020.
Réduction du déficit de la balance des transactions courantes
A l’en croire, le déficit structurel de la balance des transactions courantes s’est fortement réduit en ressortant à 157.337,6 millions en 2020, contre 337.269,1 l’année précédente.
D’après la Bceao, cette évolution s’explique par une diminution du déficit de la balance des biens et celui des services, dont les effets ont été modérés par la progression du déficit du revenu primaire.
En effet, le déficit de la balance des biens a reculé de 170.704,4 millions par rapport à 2019, en liaison avec une diminution plus importante des importations de biens comparativement aux exportations de biens. Cette évolution est en relation avec l’évolution de la conjoncture économique durant l’année 2020.
Quant au déficit des services nets, il a diminué de 1.923,1 millions, en se situant à 160.507,0 millions en 2020 contre un déficit de 162.430,1 millions en 2019. La réduction du déficit des services s’explique par la baisse du fret en relation avec la diminution des importations de biens.
Accentuation du déficit du revenu primaire
En ce qui concerne le revenu primaire, son déficit s’est accentué de 28.216,5 millions pour se situer à 69.698,2 millions en 2020 en relation avec les intérêts payés sur les titres de créance, les autres investissements et la dette publique.
Par ailleurs, l’excédent du revenu secondaire est ressorti à 162.594,5 millions en 2020 contre 127.074,2 millions une année plus tôt, grâce à la solidarité internationale.
L’excédent du compte de capital s’est inscrit en repli de 15.801,1 millions, en s’établissant à 100.503,0 millions au cours de l’année sous revue contre 116.304,1 millions en 2019, en liaison avec la conjoncture internationale difficile.
Dans ces conditions, l’exécution des échanges avec l’extérieur s’est soldée par un besoin de financement de 56.834,6 millions entièrement couvert par les opérations financières. Le compte financier affiche ainsi un passif net de 361.756,3 millions.
S’agissant de la Position extérieure globale (Peg), elle dégage un passif financier net de 2.974.227,7 millions au 31 décembre 2020 contre 2.974.804,5 millions au 31 décembre 2019.
Les variations nettes induites par les autres changements d’actifs et de passifs se sont élevées à 55.035,1 millions, imputables essentiellement aux variations du taux de change sur l’encours de la dette extérieure et sur les droits de tirage spéciaux.
Réduction du déficit de la balance des transactions courantes
A l’en croire, le déficit structurel de la balance des transactions courantes s’est fortement réduit en ressortant à 157.337,6 millions en 2020, contre 337.269,1 l’année précédente.
D’après la Bceao, cette évolution s’explique par une diminution du déficit de la balance des biens et celui des services, dont les effets ont été modérés par la progression du déficit du revenu primaire.
En effet, le déficit de la balance des biens a reculé de 170.704,4 millions par rapport à 2019, en liaison avec une diminution plus importante des importations de biens comparativement aux exportations de biens. Cette évolution est en relation avec l’évolution de la conjoncture économique durant l’année 2020.
Quant au déficit des services nets, il a diminué de 1.923,1 millions, en se situant à 160.507,0 millions en 2020 contre un déficit de 162.430,1 millions en 2019. La réduction du déficit des services s’explique par la baisse du fret en relation avec la diminution des importations de biens.
Accentuation du déficit du revenu primaire
En ce qui concerne le revenu primaire, son déficit s’est accentué de 28.216,5 millions pour se situer à 69.698,2 millions en 2020 en relation avec les intérêts payés sur les titres de créance, les autres investissements et la dette publique.
Par ailleurs, l’excédent du revenu secondaire est ressorti à 162.594,5 millions en 2020 contre 127.074,2 millions une année plus tôt, grâce à la solidarité internationale.
L’excédent du compte de capital s’est inscrit en repli de 15.801,1 millions, en s’établissant à 100.503,0 millions au cours de l’année sous revue contre 116.304,1 millions en 2019, en liaison avec la conjoncture internationale difficile.
Dans ces conditions, l’exécution des échanges avec l’extérieur s’est soldée par un besoin de financement de 56.834,6 millions entièrement couvert par les opérations financières. Le compte financier affiche ainsi un passif net de 361.756,3 millions.
S’agissant de la Position extérieure globale (Peg), elle dégage un passif financier net de 2.974.227,7 millions au 31 décembre 2020 contre 2.974.804,5 millions au 31 décembre 2019.
Les variations nettes induites par les autres changements d’actifs et de passifs se sont élevées à 55.035,1 millions, imputables essentiellement aux variations du taux de change sur l’encours de la dette extérieure et sur les droits de tirage spéciaux.
imf.org
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