La sprinteuse nigériane Blessing Okagbare a été suspendue dix ans pour de multiples infractions aux règles anti-dopages, a annoncé l’Unité d’intégrité de l’athlétisme (AIU) : « Cinq ans pour la présence et l’utilisation de plusieurs substances interdites et cinq ans pour son refus de coopérer à l’enquête de l’AIU ».
L’athlète de 33 ans a été condamnée à cinq ans pour la présence et l’utilisation de plusieurs substances interdites et à cinq ans pour son refus de coopérer à l’enquête de l’AIU sur son cas.
Okagbare était une candidate à une médaille pour le 100 m féminin aux Jeux olympiques de Tokyo 2020 après une impressionnante forme.
Elle a couru 10,63 secondes assistées par le vent lors des essais nigérians en juin, avant de remporter sa manche à Tokyo en 11,05.
Okagbare a ensuite « testé positif pour l’hormone de croissance humaine » le 19 juillet, l’excluant des demi-finales.
Médaillée d’argent olympique au saut en longueur à Pékin 2008 et médaillée d’argent aux Championnats du monde à Moscou 2013, elle détient également le record des Jeux du Commonwealth de 10,85 au 100 m féminin de Glasgow 2014.
Le tribunal disciplinaire a interdit la sprinteuse nigériane Blessing Okagbare pour un total de 10 ans, cinq ans pour la présence et l’utilisation de plusieurs substances interdites et cinq ans pour son refus de coopérer à l’enquête de l’AIU sur son cas.
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