Sur le plateau de Touche pas à mon poste, Benjamin Castaldi s’est souvenu de la grande folie qu’il avait faite : acheter l’Aston Martin de James Bond après avoir vu Casino Royale. Et pour cela, il a déboursé une somme mirobolante.
C’est un flambeur. Au plus fort de sa carrière, Benjamin Castaldi a gagné beaucoup d’argent, mais il en a aussi beaucoup dépensé. « Il y a une époque où les banquiers vous laissaient descendre, descendre, descendre… Et moi, ils m’ont vraiment laissé descendre très, très bas. Ça a participé à ma chute, jusqu’à 2,8 millions de découvert », confiait-il sur le plateau de TPMP, en février. Ajoutant : « Ils avaient pris mon appartement en garantie… Un jour, ils m’ont dit : ”Maintenant, il faut rembourser, et on va vous prendre votre appartement”. » Résultat : Benjamin Castaldi s’est retrouvé ruiné et endetté. « Je n’ai pas de maison, je loue mon appartement, j’ai plus de bagnoles. » Et pourtant, des voitures, il en a eu de très belles.
« Je voudrais l’Aston Martin de James Bond, vous l’avez ? »
Lundi 26 septembre, dans Touche pas à mon poste, les chroniqueurs racontaient leur plus grandes folies. Et, de loin, c’est Benjamin Castaldi qui s’est fait le plus plaisir. « J’ai été voir Casino Royale au cinéma, avec la nouvelle Aston Martin. J’étais sur les Champs-Élysées, je sors du cinéma et je vais directement acheter la voiture, avenue Montaigne. Je vais voir le monsieur, je lui dis : ”Je voudrais l’Aston Martin de James Bond, vous l’avez ?” “Oui, monsieur Castaldi.” J’ai fait un chèque directement, et je l’ai eue huit mois après », s’est il souvenu, avant de dévoiler le montant mirobolant du véhicule conduit par Daniel Craig dans le film : « J’avais acheté cette voiture assez cher. 380 000 euros pour être précis. »
Cela aurait pu être un bon investissement, mais… « Je m’en servais pas du tout, donc j’ai voulu aller la revendre. Quand je l’ai acheté, il m’avait dit : ”C’est une voiture extrêmement rare, donc je vous la vend mais vraiment parce que c’est vous, monsieur Castaldi, sinon je ne vous la vendrais pas.” Donc je reviens un an après, en demandant s’il ne peut pas me la reprendre. Et il me dit : ”Ça se revend pas, monsieur Castaldi…” » Finalement, le père de Simon Castaldi a réussi à revendre l’Aston Martin pour 150 000 euros. « Aujourd’hui, elle vaut 1 million d’euros… », a-t-il glissé. Ironisant : « J’ai toujours du pif. » Oups.
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