Accusé par Angelina Jolie d’avoir violenté deux de leurs enfants lors de leur dispute en 2016 à bord d’un avion, Brad Pitt a démenti ces allégations par la voix d’un représentant, les qualifiant de «totalement fausses».
Parole contre parole. Après les accusations d’Angelina Jolie de violence sur de deux de leurs enfants lors d’un vol en jet privé entre la France et les Etats-Unis, Brad Pitt a contre-attaqué par l’entremise d’un représentant. Ce dernier a qualifié ces allégations de «complètement fausses», dans une déclaration à CNN.
Ces accusations ont été révélées mardi dans le cadre du procès qui oppose les deux stars dans la vente de leur domaine viticole de Miraval. Dans un document, l’interprète de Maléfique est revenue sur cette altercation, apportant de nouvelles précisions sur l’attitude de l’acteur, qui selon elle a «étouffé l’un des enfants» et «en a frappé un autre au visage», précisant par ailleurs qu’il l’avait «attrapé par la tête, secoué (…) avant de le pousser contre le mur des toilettes». A l’époque, les autorités fédérales avaient été saisies mais aucune poursuite n’avait été engagée contre l’acteur.
Des propos jugés affabulatoires par le clan Pitt, qui estime qu’Angelina Jolie réécrit l’histoire. «Elle continue de ressasser, de réviser et de réimaginer sa description d’un événement qui s’est produit il y a 6 ans, en ajoutant des informations complètement fausses chaque fois qu’elle ne parvient pas à obtenir ce qu’elle veut», a ainsi rapporté un représentant de l’acteur à The Hollywood Reporter, avant de préciser : «Son histoire est en constante évolution».
De leur côté, les avocats d’Angelina Jolie ont rappelé que Brad Pitt avait tenté de négocier le silence de son ex-épouse et que c’est cette demande qui avait finalement rendu caduques les tentatives d’accord autour du domaine viticole du couple, poussant l’actrice à vendre ses parts au magnat russe Yuri Shefler. Une décision qui avait poussé en juin dernier Brad Pitt à mener une action en justice contre son ex-femme pour annuler cette vente. Un nouveau procès qui, selon les avocats de l’actrice, «a forcé Angelina Jolie à se défendre publiquement sur ces questions pour la première fois».
AFP