La Reine Elizabeth aurait voulu que Sophie, Comtesse de Wessex devienne un mentor pour la duchesse de Sussex.
La défunte monarque – qui est décédée en septembre, à l’âge de 96 ans – a fait « tout ce qu’elle pouvait » pour accueillir Meghan dans la famille royale, selon Gyles Brandreth.
Gyles Brandreth a également révélé que la reine était ravie d’apprendre que le Prince Harry et Meghan appelaient leur fille Lilibet, comme son arrière-grand-mère paternelle.
Gyles, qui a écrit des livres sur les membres de la famille royale, a déclaré au Daily Mail dans le journal Palace Confidential : « Je sais que lorsqu’elle a entendu le fait qu’ils l’abrégeaient son prénom souvent en Lili, elle a pensé que ‘C’était plutôt sympa’.
Gyles a également affirmé que la reine et le prince Philip désapprouvaient
Il a expliqué : « La Reine, je sais qu’elle s’est exprimée sur l’interview d’Oprah, je sais que le Duc d’Edimbourg aurait pensé que c’était une mauvaise idée. »
Pendant ce temps, Netflix a récemment publié la dernière bande-annonce de la nouvelle série documentaire de Meghan et Harry.
La bande-annonce de « Harry et Meghan » présente un certain nombre de photos du duc et de la duchesse de Sussex alors qu’ils décrivent leur vie commune.
Harry suggère qu’il ne voulait pas que sa femme subisse le même sort que sa mère, la princesse Diana, décédée dans un accident de voiture en 1997.
Harry, qui a Archie, trois ans, et Lilibet, 18 mois, avec Meghan, dit : « Je ne voulais pas que sa femme subisse le même sort que ma mère. Je ne voulais pas que l’histoire se répète ».
Dans la bande-annonce, le prince de 38 ans – qui a quitté ses fonctions de en tant que membre de la famille royale avant de s’installer aux États-Unis avec Meghan, dit : « C’est vraiment dur de regarder en arrière et de se dire ‘Mais que s’est-il passé ? »
Harry suggère également que les femmes qui se marient dans la famille royale ressentent une pression particulièrement intense.
Au-dessus d’une image de membres de la famille royale au balcon du Palais de Buckingham, Harry dit : « Il y a une hiérarchie dans la famille. La douleur et la souffrance des femmes qui se marient dans cette institution, c’est une une frénésie alimentaire. »
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