Dans son livre Le Suppléant, publié le 10 janvier, le prince Harry se confie sur les mesures de sécurité qui étaient mises en place quand il était enfant, afin d’éviter tout drame qui aurait pu éclabousser la famille royale.
Publiés le 10 janvier, les Mémoires du prince Harry connaissent déjà un franc succès, que ce soit au Royaume-Uni ou même en France. Intitulées Le Suppléant, Spare de son titre d’origine, elles regorgent d’anecdotes intimes sur le duc de Sussex et sur son quotidien passé dans la famille royale britannique. Au fil des pages, le père d’Archie et de Lilibet évoque les amitiés qu’il a nouées quand il était plus jeune et ce que ça impliquait de faire partie de son entourage.
Le prince Harry explique que « ça n’a pas été facile » de se faire des copains pendant sa scolarité à cause de ses « exigences assez spécifiques ». L’une d’elles était notamment de le « traiter de façon normale », et ce, même s’il bénéficiait de mesures de sécurité particulièrement importantes. Ses amis devaient donc « ignorer le garde du corps armé qui dormait au bout du couloir et dont la mission consistait à empêcher qu’on [l]e kidnappe ou qu’on [l]’assassine ». Le duc de Sussex a également révélé avoir eu un « traceur électronique » et avoir été doté d’un « bouton d’alarme qu'[il] portai[t] sur [lui] en permanence ».
Des amis qui ne devaient jamais parler de la famille royale
De quoi surprendre mais pas de quoi l’empêcher, finalement, de lier de jolies amitiés avec des personnes qui « répondaient à ces critères ». Dans son ouvrage, l’époux de Meghan Markle précise que ses copains devaient avant tout, à ses yeux, ne « pas [le] charrier parce qu'[il] appartenai[t] à la famille royale », ni même « faire la moindre allusion au fait qu'[il] étai[t] Suppléant ».
Et avec ces personnes, qui ont accepté de prendre en compte ses besoins, le prince Harry a eu l’occasion de « [s]’évader pour rejoindre le pont de Windsor, qui enjambait la Tamise entre Eton et Windsor ». Des moments de « tranquillité » (où le petit groupe faisait l’école buissonnière) durant lesquels le jeune homme fumait, en se mettant « en mode pilote automatique », comme il le raconte par écrit.
gala