En couple avec Mélissa Theuriau depuis seize ans, Jamel Debbouze est peu loquace quand il s’agit d’évoquer son mariage. Pourtant, la cuisine a réussi à délier la langue de l’acteur dans un entretien accordé au “Monde”.
“Un repas, aussi frugal soit-il, est un instant de rencontre. Il peut être une occasion de joie et de communion, unissant profondément les gens”, a déclaré la sociologue Elise Boulding. Et Jamel Debbouze ne dirait certainement pas le contraire, l’acteur ayant récemment ouvert au sein de l’Institut du monde arabe, à Paris, un restaurant conçu comme un hommage à la cuisine de sa mère baptisé “Dar Mima”. Dans une interview accordée au Monde pour évoquer le sujet, l’humoriste a ainsi décrit comment la nourriture a tissé un solide lien entre lui et les siens. Une passion qu’il partage d’ailleurs avec son épouse, Mélissa Theuriau : “À la maison, c’est ma femme qui achète du vin si on reçoit des amis.” Et d’ajouter : “Mais entre nous, dans le couple, le vin n’est pas un sujet. Désolé, je ne peux pas en parler.”
Mais si le vin n’est pas un sujet de conversation entre la journaliste et productrice de 44 ans et celui qui a orchestré la dernière cérémonie des César, le langage culinaire semble être fluide entre eux. D’ailleurs, c’est la pétillante brune qui a appris au père de ses deux enfants, Léon Ali, né en 2008, et Lila, née en 2011, quelques classiques de la table française. “J’aime bien préparer un bœuf bourguignon ou un gratin dauphinois, des plats, parmi d’autres, que je maîtrise grâce à ma femme Mélissa”, a confié à nos confrères Jamel Debbouze.
Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau : le secret de leur “histoire d’amour solide”
Si la cuisine fait partie des ingrédients du bonheur de Jamel Debbouze et Mélissa Theuriau, une bonne dose de liberté s’ajoute également à la recette. C’est en tout cas ce qu’a confié l’ancienne rédactrice en chef et présentatrice de Zone interdite dans les colonnes du magazine Psychologies : “Je crois qu’il faut renoncer à ce mythe de la symbiose : chacun doit pouvoir trouver des sources d’épanouissement ailleurs, on ne peut pas être tout pour l’autre.” Et d’observer, ravie de vivre “une histoire d’amour solide” : “Si on est toujours aussi amoureux, si on continue de s’admirer, je pense que c’est grâce à cette liberté qu’on s’est toujours accordée.”
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