Dans le centre de détention de Tarik al-Sikka en Libye, ce sont au total plus de 250 migrants Africains mais aussi asiatiques qui vont devoir rentrer chez eux. Une opération qui se fait en présence du ministre de l’Intérieur du pays.
Ces hommes attendent d’être expulsés dans leur pays d’origine. Ici dans le centre de détention de Tarik al Sikka en Libye, ce sont au total plus de 250 migrants africains, mais aussi asiatiques qui vont devoir rentrer chez eux.
Une opération qui se fait en présence du ministre de l’Intérieur du pays, Imed Trabelsi.
« Aujourd’hui, un groupe d’individus de différentes nationalités va être expulsé de ce centre de détention. Il s’agit de personnes originaires de Somalie, du Niger, du Tchad, du Soudan, du Bangladesh et du Nigeria », explique Imed Trabelsi.
Le mois dernier, une centaine de Nigérians avaient été rapatriés dans le cadre du programme des retours volontaires.
Depuis la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye, plongée dans le chaos, est devenue une plaque tournante de l’immigration.
euronews