« Notre-Dame, la part du feu » sur Netflix promet beaucoup d’intrigues

Cette mini-série, autour de l’incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame à Paris le 15 avril 2019, sera diffusée sur la plateforme de streaming le 19 octobre.

 

SÉRIES – Plusieurs intrigues autour d’une même tragédie : l’incendie de Notre-Dame. Netflix a dévoilé mardi 20 septembre la bande-annonce de la mini-série Notre-Dame, la part du feu, qui revient en six épisodes sur l’un des événements les plus marquants de ces dernières années, le feu qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris en avril 2019.

La mini-série chorale (construite à partir d’intrigues qui se croisent entre elles) montre le point de vue des sapeurs-pompiers ainsi que l’impact que l’incendie a eu sur la vie de personnages qui « vont devoir aller jusqu’au bout d’eux-mêmes ». Netflix, qui décrit cette série comme « captivante », a misé sur des images fortes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

Notre-Dame, la part du feu, disponible dès le 19 octobre, s’inspire du livre La nuit de Notre-Dame, écrit par la brigade des sapeurs-pompiers de Paris et Romain Gubert en novembre 2019. Le livre retrace heure par heure ce qui s’est passé le soir de l’incendie.

Roschdy Zem, Caroline Proust et Alice Isaaz au casting

Pour Hervé Hadmar, créateur et réalisateur de la mini-série, « Notre-Dame fait partie de ces lieux emblématiques qui racontent notre société et qui disent d’où nous venons et, peut-être, où nous allons. On s’en est tous un peu rendu compte à des degrés divers le jour où ce symbole a brûlé. »

Au casting, on retrouve Roschdy Zem dans le rôle du général Ducourt, un homme taciturne qui veut démissionner le jour même de l’incendie, traumatisé par un drame personnel. Caroline Proust (Engrenages) est la colonelle Varese, qui cherche à sauver la cathédrale malgré les risques.

Au-delà du point de vue des sapeurs-pompiers, la série s’intéresse aussi au traitement de l’événement par les médias. Alice Isaaz joue le rôle d’Elena, une journaliste ambitieuse qui a quitté La Réunion pour Paris. « Les médias m’importaient bien davantage parce qu’ils permettent de mettre en exergue le symbolisme de Notre-Dame et de relayer le point de vue des spectateurs » explique Hervé Hadmar.

huffingtonpost

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